Titre | « Tout ce qui ferait fuir un âne… » | |
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Auteur | Philippe Erikson | |
Revue | Terrain | |
Numéro | no 39, septembre 2002 Travailler à l'usine | |
Rubrique / Thématique | Travailler à l'usine |
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Page | 69-78 | |
Résumé |
A partir d'une enquête de terrain menée en région parisienne et en Lorraine, l'auteur s'interroge sur les représentations du travail chez les électriciens du bâtiment. Il en ressort que l'activité professionnelle marque fortement les membres de ce corps d'état, y compris en dehors de leurs heures de travail. Cependant, la satisfaction que procure (ou non) le travail dépend moins de la nature des gestes accomplis que de considérations liées à la construction des identités collectives (sentiment d'appartenance à un corps d'état prestigieux, élite du BTP) et au sentiment de disposer ou non de la maîtrise de son temps. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Résumé anglais |
“Anything an ass will turn his back to”: Electricians'devotion to their craftOn the basis of a field survey in the Parisian area and Lorraine, questions are asked about how electricians in the building trades conceive of work. Their occupational activity has left deep marks on this craft's members and on their lives outside work. The satisfaction that work might bring them depends less on the sort of gestures performed than on considerations having to do with the construction of group identities (a sense of belonging to the building trade's elite) and on the feeling of exercising control over time. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://terrain.revues.org/1433 |