Titre | Déroutes – des voix : Une lecture de L'« Allégorie » et de Phrase de Philippe Lacoue‑Labarthe | |
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Auteur | Antonin Wiser | |
Revue | Multitudes | |
Numéro | no 42, automne 2010 Gouines rouges, viragos vertes | |
Rubrique / Thématique | Mineure : Les voix |
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Page | 204-209 | |
Résumé |
Je voudrais proposer une lecture de deux textes de Philippe Lacoue-Labarthe, L'« Allégorie » (1967-1968) et Phrase (2000), pour y suivre une voie déroutante, celle de ce qui prend là le nom de littérature. Celle-ci s'élève comme un chant dans le soir, un écho lointain, à l'heure où le sujet déjà s'efface et laisse place à une phrase qui le traverse et le renverse. Portée par une « douce voix que nous savons n'être pas nôtre », la littérature emplit alors l'espace de notre disparition. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
I propose a reading of two texts by Philippe Lacoue-Labarthe, L'“Allégorie” (1967-1968) and Phrase (2000), to follow the confusing way that takes what is named here literature. It rises like a song in the evening, a distant echo, when the subject is already cleared and give way to a phrase that crosses and deposes him. Sustained by a “soft voice that we know to be not ours,” the literature fills the space of our disappearance. Source : Éditeur (via Cairn.info) |