| Titre | Henry James : perspective et géométrie | |
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| Auteur | David Lapoujade | |
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Revue | Etudes anglaises |
| Numéro | Volume 59, juillet-septembre 2006 | |
| Rubrique / Thématique | Articles |
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| Page | 319-328 | |
| Résumé |
Il s'agit, à travers cette analyse, de montrer comment les romans de James obéissent à des règles de composition comparables à celles de la géométrie projective. On ne saurait limiter le perspectivisme de James à la question de la « focalisation » comme le fait la narratologie structurale. Dès lors, l'ensemble de l'?uvre de James s'anime d'un mouvement logique selon des jeux de projection, de dédoublement, de métamorphoses propres à cette géométrie « perspectiviste ». Les personnages sont soumis à des rotations, des torsions qui témoignent d'une véritable physique géométrique. En définitive, ne peut-on pas supposer que l'?uvre de James compose une vaste combinatoire où les récits se répondent les uns aux autres selon la métamorphose continue de certains thèmes centraux ? Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=ETAN_593_0319 |
