Titre | Happiness questions and government responses: A pilot study of what the general public makes of it all | |
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Auteur | Paul Dolan | |
Revue | Revue d'économie politique | |
Numéro | volume 121, janvier-février 2011 Les nouveaux indicateurs de bien-être | |
Page | 3-15 | |
Résumé |
Questions sur le bonheur et réponses du gouvernement : une étude pilote de ce que le public fait de tout cela
Les résultats de questionnaires administrés à 51 personnes représentent une modeste contribution à la recherche empirique visant à comprendre les enquêtes de bien-être et leur pertinence pour les décisions politiques. Il apparaît que les taux de satisfaction avec la vie sont des évaluations de la vie passée, ou du moins de la vie au cours des années récentes. La plupart des répondants seraient réticents à prendre une pilule qui augmenterait leur satisfaction. Les répondants sont généralement en faveur de la fourniture de services publics et de la promotion des conditions du bonheur plutôt que de la promotion du bonheur en tant que tel. Ils pensent que les gens sont trop différents pour que l'Etat puisse avoir une influence directe. Convaincre ces personnes des mérites de politiques visant à l'amélioration du bien-être subjective requiert le développement de bons indicateurs et la conception de bonnes politiques. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
The results from interviews conducted with 51 respondents represent a small contribution
to an empirical research agenda designed to find out what goes into wellbeing reports and the appropriateness for policy analysis of what comes out. It appears that
life satisfaction ratings are retrospective assessments of how life has gone thus far, or at least how the last few years have gone. Most respondents would be reluctant to take
a pill to improve their life satisfaction. Respondents were also generally in favour of providing good public services and perhaps promoting the conditions for happiness
rather than focussing on happiness itself. Some people did not think the government should be responsible for promoting happiness directly and others were against happiness
as a goal of policy because people were seen as being too different for policies to actually make any difference. Convincing people like these of the merits of policies
designed to improve SWB requires the development of good measures and design of good policies. good policies. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=REDP_211_0003 |