Titre | Le temps codé : les calendriers en images (egoyomi) au Japon | |
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Auteur | Marianne Simon-Oikawa | |
Revue | Extrême-Orient, Extrême-Occident | |
Numéro | no 30, 2008 Du bon usage des images : Autour des codes visuels en Chine et au Japon | |
Rubrique / Thématique | III. Image et texte : du bon usage de la cryptographie |
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Page | 145-173 | |
Résumé |
En 1765, quelques amateurs fortunés se passionnèrent pour de petits calendriers (koyomi) d'un genre nouveau, qui indiquaient à l'aide d'images (e) la longueur et l'alternance des mois de l'année à venir. Les « calendriers en images » (egoyomi) étaient nés. Comme dans un code, les informations calendaires devaient être déduites de l'observation d'éléments cryptés, inaccessibles au plus grand nombre, mais parfaitement connus des amateurs. L'analyse se propose, à partir d'exemples choisis, de dégager quelques-unes des règles utilisées pour crypter les informations à transmettre, et des compétences mobilisées pour les déchiffrer. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
In 1765, a new type of calendars (koyomi), in which the order of the long and short months of the year were indicated by the means of pictures (e), became extremely popular among well-to-do amateurs. These were called « picture calendars » (egoyomi). Like in a code, the length and order of the months had to be inferred from cryptic indications that could not be grasped by most people, but which were transparent to aficionados. Through the analysis of a few examples, the paper discusses the encoding and deciphering process at work in picture calendars. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=EXTRO_030_0145 |