Titre | « Si on ouvrait mille places demain, il y aurait un terrible appel d'air » | |
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Revue | Plein droit | |
Numéro | no 68, avril 2006 (Dé)loger les étrangers | |
Rubrique / Thématique | Hors Dossier |
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Page | 43-46 | |
Résumé |
Depuis la fin de décembre 2005, le Collectif de soutien des exilés s'efforce de marauder plus souvent là où – dans le Xème arrondissement de Paris, près de la gare de l'Est – passent ou stationnent plus ou moins longtemps des Afghans, des Iraniens et des Irakiens1. L'affaire dure depuis la fermeture du camp de Sangatte, près de Calais, en décembre 2002. Depuis plus de trois ans, ce sont des milliers d'exilés qui survivent dans les conditions décrites ci-dessous. Mais les pouvoirs publics jouent la cécité. Le Collectif a décidé de rendre public le résultat de ses observations. Ces notes, qui ont parfois la couleur de l'humeur du moment et qui peuvent avoir été écrites sans une connaissance précise du droit des étrangers, sont une mine d'informations et une source de méditations pour qui voudra bien y réfléchir. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=PLD_068_0043 |