Titre | Roman noir | |
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Auteur | Dominique Manotti | |
Revue | Le Mouvement social | |
Numéro | no 219-220, avril-septembre 2007 Culture et politique. | |
Rubrique / Thématique | Formes de la culture et relations aux publics |
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Page | 107-109 | |
Résumé |
Que disent les romans noirs américains et leurs homologues français surgis après 1968 ? Le
roman « noir » enracine les crimes dans les circonstances sociales dans lesquelles ils sont commis.
Ce n'est plus l'individu seul qui est criminel, c'est le monde de souffrance, de misère, de violence
et de corruption dans lequel nous vivons qui produit les individus criminels, ce monde que la loi et
la justice recouvrent, sans l'organiser. Le rétablissement de l'ordre, s'il a lieu, n'est jamais que le
rétablissement précaire, identifié comme tel, d'une apparence d'ordre et de paix. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Hardboiled crime stories.
This essay looks at American crime stories (from dime novels to pulps and to the
hardboiled school) and at their French counterparts which emerged after 1968. Crime is
rooted in society. The individual is not the only criminal, it is also the world of law and
order. The restoration of public order is seen as precarious and often as mere semblance. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=LMS_219_0107 |