| Titre | Sauver les keimilia | |
|---|---|---|
| Auteur | Jasmina Sopova | |
					 				 | 
				Revue | Confluences Méditerranée | 
| Numéro | no 38, été 2001 Démocratisation et replis identitaires | |
| Rubrique / Thématique | Dossier  | 
			|
| Page | 67-73 | |
| Résumé | 
					« Ces petites choses qui nous entourent sont plus coriaces que nous. Elles ont le sens de la durée », écrit le poète macédonien Ante Popovski, dans un poème consacré à une petite croix que sa famille a transmise de génération en génération et qu'aujourd'hui il caresse encore dans sa mémoire. Ce sont ces mêmes petites choses que le moine orthodoxe Pavlos Politis s'est engagé à sauver de l'oubli : les keimilia. Ces bribes d'antan qui sommeillent dans toutes choses : une église, une icône, un encensoir, mais aussi une lettre, un porte-plume, un fauteuil. Ouvert à toutes les cultures et à toutes les religions, le père Pavlos prêche l'idée d'un patrimoine sans frontières, bousculant les préjugés sur l'austérité du Mont Athos. Source : Éditeur (via Cairn.info) 				 | 
			|
| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=COME_038_0067 | 

				
