Titre | « Droit d'ingérence » et droit humanitaire : les faux amis | |
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Auteur | Nathalie Herlemont-Zoritchak | |
Revue | Humanitaire | |
Numéro | no 23, décembre 2009 Les ONG, nouvelles gardiennes des Conventions de Genève ? | |
Rubrique / Thématique | Dossier |
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Résumé |
En droit international, le principe de non-intervention, c'est-à-dire le droit de tout État souverain à conduire ses affaires sans ingérence extérieure, est un principe coutumier universellement applicable. Suivant une contre-interprétation extensive et non juridique de la notion, la scène internationale apparaît souvent aujourd'hui comme un monde d'ingérences multiformes. Si la notion d'ingérence est souvent utilisée bien au-delà de sa dimension juridique dans le domaine de l'action humanitaire, elle a en outre donné lieu à une construction théorique qui s'affirme comme droit, en contradiction avec le principe coutumier de non-intervention. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://humanitaire.revues.org/594 |