Titre | La « Casa di San Giorgio », une autorité de régulation dans les villes communales médiévales italiennes | |
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Auteur | Luca Parisoli | |
Revue | Droit et cultures | |
Numéro | no 52, décembre 2006 Iran et Occident. Hommage à Kasra Vafadari | |
Rubrique / Thématique | Études |
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Page | 221-237 | |
Résumé |
Les poussées à l'instabilité déterminées par la structure familiale et par clan de la société urbaine médiévale, et donc par ses codes de la vengeance, produit une conception particulière de la représentation politique. Je me concentre sur le cas de la Casa di San Giorgio, car son originalité est marquante. En effet, cette autorité de régulation gère tout simplement la totalité de la dette publique de Gênes à la place de l'assemblée politique élue et du gouvernement de cette ville. La Casa di San Giorgio se consacre au bien et au salut commun car elle ne représente pas l'âme la plus féodale et guerrière de la ville : l'intérêt commun est celui de l'accomplissement de la richesse capitaliste dans la ville de Gênes. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Résumé anglais |
The familiar structure by clan of urban medieval society, regulated by codes of revenge, gives a propensity to political instability, and offer a particular conception of political representation. I focus on the case of Casa di San Giorgio, a very original institution in Italian Middle Age. This authority of governance was responsible for the political economy of Genoa in lieu of the elective chamber and of the government. Casa di San Giorgio devoted itself to common good and survived, because it was independent from warrior and nobility elements of the town: the common interest was finally the realization of capitalist welfare in Genoa. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://droitcultures.revues.org/715 |