Titre | « Le monde est... ». Lectures du Tractatus par Blumenberg | |
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Auteur | Jean-Claude Monod | |
Revue | Archives de philosophie | |
Numéro | tome 79, no 1, janvier 2016 Foucault et les sciences humaines | |
Rubrique / Thématique | La vocation thérapeutique de la philosophie Wittgenstein – Blumenberg |
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Page | 121-134 | |
Résumé |
Hans Blumenberg est revenu avec obstination sur les plus fameux énoncés du Tractatus de Wittgenstein : peut-on dire que « le monde est tout ce qui est le cas », ou bien n'est-ce qu'un de ces pseudo-énoncés qu'il s'agit de bannir de la philosophie ? Ce qui ne peut se « dire » sur le mode d'un énoncé vérifiable empiriquement ne peut-il chercher à se dire autrement ? N'est-ce pas précisément le rôle de ce que Blumenberg appelle des « métaphores absolues » ? Il faut alors confronter ce que l'un et l'autre philosophes ont suggéré quant aux limites du discours et au « mystique ». Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Hans Blumenberg has often written about the most famous sentences from the Tractatus: can one say that “die Welt is alles was der Fall its”, or is it only one of these pseudo-sentences that one should expel from philosophy? Is it not possible to “say” in another manner what can't be “said” under the mode of a sentence that it is possible to verify empirically? Is it not precisely the role of what Blumenberg calls “absolute metaphors”? One needs, then, to confront what both philosophers have suggested about the limits of the discourse and about the “mystical”. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=APHI_791_0121 |