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Titre Las mujeres exiliadas en la internacionalización de la insurrección cubana: 1955-1958
Auteur Manuel Ramírez Chicharro
Mir@bel Revue L'Ordinaire des Amériques
Numéro no 222, 2017 Femmes et militantisme politique contre les dictatures en Amérique latine
Rubrique / Thématique
Mémoires du militantisme : révolutions collectives et individuelles
Résumé Le coup d'État du colonel Fulgencio Batista du 10 mars 1952 a mis fin à la période démocratique qui a été inaugurée au Cuba à la suite de la ratification de la Constitution en 1940. Dès ce moment-là, l'opposition au gouvernement de Batista, articulée par les manifestations pacifiques dirigées par des groupes d'étudiants scolaires et universitaires, est devenue le sabotage et le terrorisme urbain, ainsi que la lutte guerrière, jusqu'à ce que le mouvement insurrectionnel, en janvier 1959, a réussi à renverser le gouvernement putschiste. À l'exception des études réalisées par Sergio López et Francisco Pividal, ou les témoignages de Luis Buch, certaines facettes de l'activité jouée par les clubs qui appuyaient l'insurrection cubaine, lesquels ont surgi et ont agi depuis l'exil entre 1955 et 1959, sont inconnues. Le présent article s'appuie sur la presse latino-américaine et américaine, ainsi que des archives personnelles consultées à La Havane et à Miami, en suivant les lignes de recherche mentionnées, afin d'identifier le rôle joué par les femmes cubaines dans ces sections et groupements étrangers. Plus concrètement, les clubs ou les femmes militantes au Mexique, aux États-Unis, au Chili et en Argentine seront examinés.
Source : Éditeur (via OpenEdition Journals)
Résumé anglais The 10th of March 1952 military coup d'Etat lead by Colonel Fulgencio Batista put an end to the democratic period that started up when the Cuban Constitution of 1940 was ratified. From that moment on, the opposition to the Batista's government evolved from pacific demonstration to urban terrorism and guerrilla warfare until the insurrectional movement managed to oust him in January 1959. Aside from the studies published by Sergio López and Francisco Pividal, or the testimonies given by Luis Buch, many aspects of the activities that were carried out by those clubs supporting the Cuban insurrection between 1955 and 1959 are still mainly unknown. This paper is based on Latin-American and American papers, as well as personal archives from Havana and Miami. By following the aforementioned researches, this article tries to define the role that Cuban women performed in this external groups and sections. Concretely, It will be examined the clubs and women activists in México, United States, Chile and Argentina.
Source : Éditeur (via OpenEdition Journals)
Article en ligne http://orda.revues.org/3423