Titre | As trajetórias de Eleonora Menicucci de Oliveira e Angela Maria Silva Arruda entre revoluções e feminismos | |
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Auteur | Dayane Nascimento Sobreira | |
Revue | L'Ordinaire des Amériques | |
Numéro | no 222, 2017 Femmes et militantisme politique contre les dictatures en Amérique latine | |
Rubrique / Thématique | Mémoires du militantisme : révolutions collectives et individuelles |
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Résumé |
Eleonora Menicucci et Angela Arruda accomplissent des parcours engagés à l'élaboration des nouveaux modes de production de subjectivités et d'un monde plus philogyne. Mise en prison et torturée, Eleonora Menicucci a eu un contact antérieur avec le mouvement féministe de la ville de Belo Horizonte, Brésil ; d'où ele est partie ensuite pour João Pessoa, Brésil ; ville où elle a aidé dans la création du groupe Feministe Maria Mulher, le premier de l'état. Angela Arruda, exilée en France, a poursuivi sa militance dans des organisations de gauche, a participé du mouvement féministe français et a acquiert des habitudes de vie alternative. Elle est revenue au Brésil en 1982, après avoir aidé dans la création du groupe de femmes de Campina Grande/PB et inspiré le groupe Raízes, fondé après. À travers leurs histoires, qui regroupent la résistance à la dictature et la force des féminismes, nous avons comme but coudre des fils de l'histoire des resistances au regime militaire et aux structures patriarcales et misogynes, ce qui met en valeur la croissance du mouvement féministe de l'état de la Paraíba et du Brésil. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Résumé anglais |
Eleonora Menicucci and Angela Arruda follow trajectories committed with the creation of new methods of subjectification and a more philogynistic world. Arrested and tortured, Eleonora Menicucci had previous contact with the feminist movement in the city of Belo Horizonte, Brazil; leaving for the city of João Pessoa, Brazil; where she soon helped to found the Feminist Group Woman Maria, the first in the state. Angela Arruda, exiled in France, continued her militancy in left-wing organizations, got involved in the French feminist movement and acquired alternative lifestyle habits. She returned to Brazil in 1982, helping to found the Women's Group of Campina Grande/PB and inspiring the later Group Roots. Through these trajectories that link the resistance against the dictatorship to the strength of feminism, we intend to interlace threads of the history of resistance against the military dictatorship and against patriarchal and misogynistic structures, listing the emergence of the feminist movement in the state of Paraíba and in Brazil. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://orda.revues.org/3440 |