Titre | Ni chair ni poisson. Les sénateurs de désignation royale, entre héritage autoritaire et construction de la démocratie (1976-1979) | |
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Auteur | Nicolas Sesma Landrin | |
Revue | Parlement[s]. Hors-série | |
Numéro | Hors-série no 12, 2017/3 Vie politique et parlementaire en Espagne XIXe-XXe siècles | |
Rubrique / Thématique | Recherche |
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Page | 149-171 | |
Résumé |
Cet article aborde l'action des sénateurs de
désignation royale pendant la transition démocratique espagnole, en
particulier leur activité parlementaire au cours de l'élaboration de
la nouvelle Constitution de 1978
1. Établie
par la Loi pour la réforme politique, approuvée à la fin de 1976, la
figure des sénateurs royaux est très représentative de la complexité
et des contradictions qui ont marqué le processus de changement
politique depuis la mort de Franco, ainsi que des difficultés pour
faire converger les intérêts de l'institution monarchique et ceux de
la légitimité démocratique. En ce sens, après avoir parcouru les
étapes initiales de la transition, nous focalisons notre analyse sur
les interventions d'un porte-parole des sénateurs royaux, le juriste
Carlos Ollero, principal défenseur du maintien des prérogatives de la
Couronne dans le texte définitif de la Constitution, l'un des débats
les plus oubliés de la période constituante. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
The article focuses on the royal senators during
the Spanish transition to democracy, more precisely on their
parliamentary activity during the drafting of the new Constitution of
1978. The existence of the senators by royal appointment, established
by the Act for the Political Reform adopted by the end of 1976,
reflects with accuracy the complexity and the contradictions which
characterized the political change after Franco's death, as well as
the difficulties in achieving the convergence between the interests of
the monarchy and the democratic legitimacy. In this sense, after
dealing with the initial steps of the transition, the analysis focuses
on one of these senators' spokesmen, Carlos Ollero, who firmly
advocated for the preservation of political prerogatives in the hands
of the king in the final version of the Constitution, one of the most
forgotten discussions of the constituent period. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=PARL2_HS12_0149 |