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Titre Ladislas Mandel dans les rangs des FTP-MOI
Auteur Claude Collin
Mir@bel Revue Guerres mondiales et conflits contemporains
Numéro no 234, 2009/2 Les généraux allemands et Hitler
Page 97-117
Résumé Ladislas Mandel dans les rangs des FTP-MOILadislas Mandel est né dans une famille juive de Transylvanie, région hongroise devenue roumaine en 1920. Très jeune, il adhère à une organisation de jeunesse communiste. En 1936, il rejoint un frère établi à Paris et milite dans la « sous-section de langue » hongroise de la MOI (Main d'œuvre immigrée). Au cours de l'exode de 1940, il gagne le sud de la France et se lie à des communistes italiens. Il est pendant un certain temps chargé de recruter et de former pour la Résistance de jeunes enfants d'immigrés. Au début de l'année 1944, il devient membre de l'unité toulousaine des FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans de la Main d'œuvre immigrée) et assume très vite des responsabilités départementales dans cette organisation. Suite à de tragiques événements survenus à Toulouse, il est « mis au vert », puis envoyé à Lyon où il occupe de nouveau des responsabilités départementales, ce qui ne l'empêche pas d'avoir de sérieux démêlés avec sa hiérarchie !
Source : Éditeur (via Cairn.info)
Résumé anglais Ladislas Mandel dans les rangs des FTP-MOILadislas Mandel was born into a Jewish family in Transylvania, a Hungarian territory, that became Rumanian in 1920. As a very young man, he joined a communist youth organisation. In 1936, he joined his brother who had settled in Paris and in the Hungarian took active part speaking « under-section » of the MOI (Main d'œuvre immigrée). During the evacuation of 1940, he reached the south of France and made the acquaintance of Italian communists. For a while he was in charge of the recruitment and training of immigrant children in the Resistance. At beginning of 1944 he became a member of the Toulouse section of the FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans de la Main d'œuvre immigrée) and very quickly took on local responsibilities within the organisation. Following some tragic events that took place in Toulouse, he had to keep away from this city ; he was then sent to Lyon, where, once more, he assumed local responsibilities. This did not spare him from being severely criticized by his superiors.
Source : Éditeur (via Cairn.info)
Article en ligne http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=GMCC_234_0097