Titre | Éducation : du bon usage des sciences cognitives. Réflexions épistémologiques et éthiques | |
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Auteur | PASQUINELLI Elena | |
Revue | Futuribles | |
Numéro | no 428, janvier-février 2019 | |
Résumé |
Dans le dossier spécial que nous consacrons dans ce numéro à l'avancée des recherches sur le cerveau humain et à leurs apports au développement des pratiques éducatives et, plus généralement, à nos capacités d'apprentissage, cet article d'Elena Pasquinelli est important. En effet, celle-ci rappelle opportunément que si ces recherches peuvent grandement contribuer à améliorer les pratiques éducatives, nous devons rester vigilants vis-à-vis de soi-disant découvertes qui, en réalité, sont sans fondement.Ainsi, après avoir souligné les espoirs légitimes que l'on peut fonder sur ces recherches, l'auteur nous met en garde contre des croyances, sinon des effets de mode, comme « l'effet Mozart » (selon lequel écouter de la musique classique améliorerait notre intelligence) — ce qu'elle appelle des « neu-romythes » dont elle donne plusieurs exemples —, qui ne reposent sur aucune recherche sérieuse et sont néanmoins très répandus. Finalement, son article nous invite à faire preuve de discernement, notamment dans le mariage entre science et enseignement. H.J. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
In the special dossier we are devoting in this issue to advances in research on the human brain and the contribution of that research to the development of educational practices – and, more generally, our capacities for learning – this article by Elena Pasquinelli is important for providing an opportune reminder that, though that research may contribute greatly to improving educational practices, we should remain vigilant towards so-called discoveries that are, in reality, unfounded. After stressing the legitimate hopes that may be vested in this research, Pasquinelli warns us against false – or perhaps merely fashionable – beliefs in such things as “the Mozart Effect” (the idea that listening to classical music might improve our intelligence). She gives many examples of these “neuromyths”, as she calls them: widely believed theories that are not supported by any serious research. Ultimately, her article invites us to maintain a discerning stance on these matters, particularly where the links between science and teaching are concerned. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=FUTUR_428_0063 (accès réservé) |