Titre | Donald Trump, syndic de faillite de l'hégémonie libérale ? | |
---|---|---|
Auteur | Pascal Boniface | |
Revue | La revue internationale et stratégique | |
Numéro | no 113, printemps 2019 Géopolitique de la transition énergétique | |
Rubrique / Thématique | Éclairages |
|
Page | 18-30 | |
Résumé |
En annonçant, le 26 décembre 2018, que les États-Unis ne pouvaient plus être les gendarmes du monde, Donald Trump a créé un choc dépassant en ampleur les habituelles secousses telluriques faisant suite à ses déclarations. La communauté stratégique américaine a quasi unanimement critiqué cette annonce. Pourtant, son argumentation ne vaut-elle pas d'être prise en considération quand le président déclare que les interventions militaires états-uniennes du XXIe siècle (Afghanistan, Irak, Libye) ont été des catastrophes ? D. Trump remet frontalement en cause l'hégémonie libérale qui est l'alpha et l'oméga de la diplomatie américaine depuis la fin de la guerre froide. Cette théorie est également remise en cause dans un livre solidement documenté et magistralement argumenté écrit par un universitaire américain, Stephen Walt. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
Résumé anglais |
On 26 December 2018, President Donald Trump declared that the United States cannot continue to be the policeman of the world. The American strategic community strongly condemned this decision. However, is the President totally wrong when saying that the US military interventions of the 21st Century (Afghanistan, Iraq, Libya) were disastrous ? Since the end of the Cold War, US foreign policy has been based on liberal hegemony, a strategy that Trump vowed to put an end to. This theory is also criticised in a reasoned manner by Stephen Walt, an American international affairs expert. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=RIS_113_0018 (accès réservé) |