| Titre | Une théorie tridimensionnelle de la communication organisationnelle | |
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| Auteur | James R. Taylor | |
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Revue | Communication |
| Numéro | Vol. 11, no 1, printemps 1990 Organisations. | |
| Page | 15-59 | |
| Résumé |
La communication peut être analysée selon trois modalités, comme une procédure (opération), comme une représentation de cette procédure et comme une action sociale qui est réalisée par l'accomplissement de l 'opération. L'article qui suit démontre le fond structural sous-jacent, de la communication conçue d'abord comme une opération, ensuite comme une représentation et enfin comme un acte de conversation. Une analyse de l 'opération de la communication dans le langage des systèmes démontre que la communication incorpore une interaction des perspectives globales (worldviews). L'analyse sémantique découvre l'origine de ces perspectives, appelées particulates et instancielles, selon qu 'on inclut ou non le rapport sujet/objet. Ce rapport figure dans le modèle sémantique comme un enchâssement des unités logiques. Le modèle rationnel classique (dont la bureautique) fait abstraction d'une de ces perspectives, soit la subjective. La structure d'une unité conversationnelle incorpore la même rencontre des perspectives, mais dans un contexte d'intersubjectivité (d'où l'ambiguïté de la communication). L'article conclut qu 'une organisation ne peut pas être une construction à logique traditionnelle. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Résumé anglais |
Communication can be analyzed according to three modalities, as a procedure (operation), as a representation of the procedure and as a social action which is accomplished through the opertion. The article which follows describes the underlying structure of, first, communication thought of as an operation, then as a representation and finally as an act of conversation. A systems-based analysis of communication shows that communication incorporates an interaction of perspectives (called "world-views"). A semantic analysis is used to determine the origin of these perspectives (called particularistic and instantial), depending on whether the representation accounts for the subject/object relationship. This relationship figures in the semantic model as an embedding of one logical structure within another. The classical rational organization model (including office automation) omits one of these perspectives, namely the subjective. The structure of a conversational episode incorporates the same encounter of perspectives, but in a context of inter subjectivity (hence the ambiguous character of communication). The article concludes that an organization cannot be based on a single-stream logic such as that of standard formal logic. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/comin_1189-3788_1990_num_11_1_1460 |
