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Titre Effets de portefeuille, marchés financiers et modèles EGC dans les pays en voie de développement
Auteur Christopher S. Adam, David Bevan
Mir@bel Revue Revue d'économie du développement
Numéro volume 6, no 3-4, décembre 1998 Modèles d'équilibre général calculable pour le développement
Page 46 pages
Résumé Dans cet article, nous nous proposons d'étudier une série de modèles EGC appliqués à une petite économie ouverte. Ce sont ici les caractéristiques du marché financier qui permettent de distinguer chaque modèle du précédent. Un choc identique de politique macro-économique est appliqué à chaque modèle. Nous mettons l'accent sur deux caractéristiques distinctes des marchés financiers dont nous étudions les effets sur les performances de l'économie réelle : les marchés financiers avec effets de portefeuille réels et ceux avec effets nominaux (demande de monnaie, effets de richesse, gains de capital, intermédiation). Bien que des modèles cohérents faisant intervenir le marché financier rencontrent des problèmes conceptuels et de calibrage susceptibles de réduire leur pertinence, nous pensons qu'il y a tout à gagner à introduire au moins un traitement minimal des actifs dans l'analyse des chocs de politique macro-économique, notamment grâce à un modèle à portefeuille très simple.
Source : Éditeur (via Persée)
Résumé anglais Portfolio effects, asset markets and egc models in developing countries In this paper we examine a hierarchy of CGE models for a small open economy in which each model is distinguished from its predecessor by the way in which the economy's asset markets are characterized. Each model is subjected to the same simple macroeconomic policy shock. We emphasise two different features of assets markets, those involving real portfolio effects and those involving nominal effects (money demand, wealth effects, capital gains, intermediation) : the differential impact of these on the performance of the real economy is examined. We argue that although fully articulated asset market models encounter formidable conceptual as well as calibration problems, which may limit their utility, there are large gains to be had from incorporating at least some limited treatment of assets (for example in a relatively basic portfolio model) in the analysis of macroeconomic policy shocks.
Source : Éditeur (via Persée)
Article en ligne https://www.persee.fr/doc/recod_1245-4060_1998_num_6_3_990