Titre | Political communities on Facebook across 28 European countries | |
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Auteur | Karolina Koc-Michalska, Darren G. Lilleker | |
Revue | Questions de communication | |
Numéro | no 36, 2019 Des données urbaines | |
Rubrique / Thématique | En VO |
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Page | 245-265 | |
Résumé |
La recherche montre que les campagnes politiques tendent de plus en plus à intégrer des stratégies digitales au sein des réseaux socio-numériques, dont le but est de convertir les followers en acteurs de la campagne. La remédiation des contenus est un levier à fort potentiel pour augmenter la portée des messages du parti, et l'impact mondial de ce type de pratiques a été prouvé. Dans une étude comparative des partis candidats au Parlement européen en 2014, nous avons démontré que les partis forts d'une large base de sympathisants sont les plus à même de tirer profit du potentiel des réseaux socio-numériques. Leur large communauté de followers accroît leur visibilité puisqu'ils agrègent aussi, proportionnellement, plus de militants. Cependant, certains facteurs nivellent ce phénomène. Les partis aux positions pro ou anti-UE ont le plus grand nombre de militants dans leur communauté de followers, mais ils attirent également la majeure partie des internautes qui ne participent que par commentaires. Nous avançons alors que, si les engagements idéologiques les plus marqués motivent les militants, ils suscitent aussi une dynamique d'opposition. Des études supplémentaires, qualitatives, sont nécessaires pour poursuivre cette recherche et comprendre la nature des discours que tiennent les partis politiques sur les réseaux socio-numériques. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Studies show that political campaigns are increasingly developing a digital strategy to convert their social media followers into agents of the campaign. Remediation of content offers the potential to accelerate the reach of party messages, and there is evidence that this has real world impact. In a comparative examination of all parties standing for the 2014 election to the European parliament, we find that parties with existing large support bases are the most likely to benefit from the potential offered by social media. Having a large number of followers means benefiting from greater prominence by captivating more activists. There is some evidence of “equalisation”, however. Parties with pro or anti-EU stances have the highest percentage of activists within their followership but also attract the largest numbers of those who only comment. We suggest, therefore, that while there is evidence that strong ideological commitment motivates activists, it also generates adversarial dynamics. Qualitative research is required to extend these findings as to understand the nature of online discourse across party social media pages. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=QDC_036_0245 |