| Titre | Grandeur et décadence de l'oléiculture provençale | |
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| Auteur | Jean Nicod | |
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Revue | Revue de Géographie Alpine |
| Numéro | vol. 44, no 2, 1956 | |
| Page | 49 pages | |
| Résumé |
Résumé. — Culture méditerranéenne traditionnelle, en vergers ou associée aux autres cultures, l'olivier a connu des fièvres de spéculation, du XVIIe à la première moitié du XIXe siècle, et aussi de graves crises climatiques, qui ont entraîné une meilleure adaptation aux conditions locales. Mais depuis trois quarts de siècle, l'oléiculture, victime de nouvelles conditions économiques, connaît une profonde régression. Cependant ce recul est loin d'être uniforme : suivant les secteurs, se produit l'abandon total avec arrachage des arbres, l'envahissement par la pinède, le délaissement des olivettes réduites au rang de culture familiale, mais aussi parfois leur entrelien et leur régénération. Le maintien des oliveraies n'est possible et ne peut être valablement encouragé que dans les terroirs où l'on peut en attendre des produits de qualité (olives de confiserie, huiles surfines), Seuls capables de se défendre sur le marché métropolitain. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/rga_0035-1121_1956_num_44_2_1762 |
