Titre | Le mouvement ouvrier bolivien et la révolution nationale | |
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Auteur | Robert Vandycke | |
Revue | Sociologie du travail | |
Numéro | vol. 11, no 1 ,janvier-mars 1969 | |
Page | 20 pages | |
Résumé |
De la Révolution Nationale de 1952 au Coup d'État du général Barrientos en 1964, la Bolivie a connu un régime politique où le mouvement ouvrier, triomphateur de la première heure , a finalement perdu le pouvoir au profit d'une junte militaire. Mise entre parenthèses d'objectifs de classe dans la revendication des groupes ouvriers , bureaucratisation des syndicats liés aux partis et chargés , par eux, d'un rôle intégrateur, conception intégratrice aussi du contrôle ouvrier, impuissance économique enfin, ont été les causes profondes de cette perte de pouvoir. Ces contradictions ont fait l'échec du mouvement, révélant son manque de visées sur la société globale et, ainsi, son absence de stratégie. Source : Éditeur (via Persée) |
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Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/sotra_0038-0296_1969_num_11_1_1413 |