| Titre | État et politiques sociales : contribution à une théorie néo-institutionnaliste | |
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| Auteur | François-Xavier Merrien | |
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Revue | Sociologie du travail |
| Numéro | vol. 32, no 3, juillet-septembre 1990 | |
| Page | 28 pages | |
| Résumé |
Cet article fait une analyse critique des théories des politiques sociales gouvernementales. Plus couramment désignées sous le concept de welfare state, les politiques sociales ont été interprétées par plusieurs écoles : celles qui les présentent comme conséquences logiques de la démocratisation , explications inspirées du marxisme, modèle social-démocrate, approche néo-institutionnaliste centrée sur l'État, hypothèse axée sur l'apprentissage social. L'auteur propose de compléter ces approches par la prise en considération de la variabilité du paradigme sociétal d'un pays à l'autre. Il appuie sa thèse sur l'observation de l'évolution de la politique sociale en France et en Grande-Bretagne. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Résumé anglais |
Public social policies, more often designated by the term "welfare state", have been explained variously : as being the logical consequence of democratization, in terms of Marxism, from a neoinstitutionalist perspective centered on the state, and with a hypothesis based on social learning. This critical analysis of theories about public social policies seeks to complete these approaches by taking into consideration the variability, depending on the country, of the societal paradigm. This thesis is grounded in observations of social policy trends in France and Great-Britain. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/sotra_0038-0296_1990_num_32_3_2511 |
