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Titre « Bienvenue en France ! »
Auteur Les malvenu-es de l'université, collectif « Etrangèr-es et division internationale du travail scientifique » de la coordination des Facs et labos en lutte, Tracés,, Camille Noûs
Mir@bel Revue Tracés
Numéro no 39, 2020/2 Documenter l'université qui lutte
Rubrique / Thématique
Articles et entretiens
Page 39-65
Résumé En juillet 2020, la rédaction de Tracés a rencontré sept membres du collectif « Etrangèr-es et division internationale du travail scientifique » de la coordination des Facs et labos en lutte pour un entretien qui a pris la forme d'une discussion à bâtons rompus au cours de laquelle il a, entre autres, été question de revenir sur la genèse du collectif, sur les différentes formes de précarisations des étrangères et des étrangers au sein de l'ESR, sur la difficulté à faire entendre une voix autonome pour les étrangères et les étrangers dans le cadre des mobilisations contre la LPPR et sur les horizons de luttes qui convergeraient enfin. C'est cette discussion libre, qui n'a pas « la tête d'un entretien », que nous reproduisons dans ces pages.
Source : Éditeur (via OpenEdition Journals)
Résumé anglais In July 2020, Tracés's Editorial Board met seven members of the collective “Foreigners and the international division of scientific work” part of the Coordination of the movement “Facs et Labos en Lutte” (Faculties and Laboratories in Struggle) for an interview. This encounter became a free-flowing conversation during which some of the following topics were discussed at length: how the collective was formed; how various forms of insecurity were imposed on foreigners in French HER and how difficult it was for an autonomous voice representing foreigners to be heard within the context of protests against the law on multi-year research programming (LPPR). We reproduce here this open discussion or “an interview that doesn't look like one”.
Source : Éditeur (via OpenEdition Journals)
Article en ligne http://journals.openedition.org/traces/11759