| Titre | Lieux de plénitude et de vacuité dans l'oeuvre poétique de William Bronk | |
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| Auteur | Alain Suberchicot | |
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Revue | Revue française d'études américaines |
| Numéro | no 42, novembre 1989 Métamorphoses littéraires du quotidien. | |
| Page | 11 pages | |
| Résumé |
William Bronk constitue le lieu, traduit sa permanence, et en provoque la dissolution, faisant coexister ces trois aspects apparemment successifs de la conscience du monde. La plénitude qu'apporte le lieu est véhiculée avec la conscience de sa vacuité. C'est d'abord un absolu du paysage devant lequel l'homme s'efface. Puis c'est le lieu qui s'efface, et la vacuité du lieu permet la plénitude du sujet qui l'habite. Ainsi, Bronk se réapproprie et reformule à sa manière l'impersonnalité déjà illustrée par l'œuvre poétique et critique de T.S. Eliot. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Résumé anglais |
William Bronk calls place into existence, then conveys a sense of its permanence, and eventually lets it dissolve, thus bringing together three aspects of the consciousness of the world which seemed to be embraced in succession. The fullness of place is conveyed by the consciousness of its emptiness. At first, it is an absolute in the landscape against which man's figure becomes blurred. Then, place is dissolved, and its emptiness enables the plenitude of the thinking subject that inhabits it to develop. This is how Bronk makes impersonality his own, and reformulates the concept one finds in T.S. Eliot's poetry and critical writings. Source : Éditeur (via Persée) |
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| Article en ligne | https://www.persee.fr/doc/rfea_0397-7870_1989_num_42_1_1373 |
