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Les étudiants ont lancé un mouvement de greves mais le courant réformateur est faible en Tchécoslovaquie. De plus, l'opposition a du subir une répression sévère.

Extrait de la revue indépendante Sport sur les événements de janvier dernier. La population a manifesté contre les violences policières.

Compte rendu de l'intervention de P. Pithart au symposium "Tchécoslovaquie 1989: dialogue ou confrontation" sur l'évolution sociale et politique du pays.

Extrait de "Une renaissance spirituelle de la nation est-elle issue de la crise?". Cette renaissance ébranlera la mainmise totalitaire sur l'individu.

Rapport signé adressé au symposium 1989 qui a réuni des dissidents tchèques et une délégation officielle de l'Union des écrivains tchécoslovaques.

Extrait d'un entretien avec le chanteur et musicien le plus connu en Tchécoslovaquie. Il veut inscrire l'optimisme comme seul programme.

Entretien avec deux membres de la délégation des écrivains tchécoslovaques au cours de la rencontre des intellectuels émigrés à Franken (R.F.A.).

La société slovaque redoute une dé-fédéralisation et une centralisation du gouvernement tchèque. Les slovaques craignent une perte d'intégrité de leur pays.

Entretien de Milan Fort avec Vaclav Havel et un dramaturge marginalisé par la politique culturelle: Karel Steigerurald.

A propos du soutien par une pétition au cours de l'arrestation de Vaclav Havel.

Sur l'action des dissidents et la reconstruction politique. La nécessité d'un pluralisme de pensées.

Sur les prises de position des jeunes contre la répression policière lors de la commémoration de l'immolation de Jan Palach.

Sur la faiblesse de la situation géographique par rapport à l'U.R.S.S. Le P.C.T. a été décimé après 1968 et les réformateurs sont inexistants.

Sur la nécessité de lutter contre les persécutions quotidiennes. Meme les réformateurs du P.C.T. ne peuvent agir.

Extraits de "Les possibilités d'une première étape de démocratisation". Sur les tensions entre les réformateurs et les conservateurs du P.C.T.

La crise profonde de la société tchécoslovaque ne pourra etre surmontée sans un changement politique essentiel.

Le mouvement pour la liberté civique est un allié genant pour les forces d'avant-garde qui se créent dans le monde officiel.

Sur les problèmes d'environnement et l'aliénation économique et sociale de l'homme. La Tchécoslovaquie mérite d'etre restructurée.

Le communisme n'est pas seulement du à l'expansion russe mais est un produit local. Il existe des staliniens tchécoslovaques.

Economiste dans un institut officiel Milos Zeman s'est prononcé dans un journal puis à la télévision. Il a été licencié.

Les démocrates tchécoslovaques doivent distinguer les staliniens et les réformateurs du P.C.T.

Jan Dus devrait définir les termes qu'il utilise: communisme, réformateur et stalinien. La méfiance contre les communistes est le problème de ceux-ci.

Entretien de la Nouvelle Alternative avec Jan Kren. La répression policière n'empechera pas la démocratisation car cette dernière est soutenue par une pression sociale.

L'opposition de la "Charte 77" n'est pas une véritable opposition car elle s'inscrit dans la légalité et ne s'engage pas dans la polémique.

Du refus d'etre un homme politique. La conscience d'etre un citoyen ne doit pas occulter sa vocation d'écrivain.

Sur la nécessité d'un vrai programme politique qui sorte le pays de la rigidité du pouvoir.

Des tchèques actifs de l'opposition ont répondu à un questionnaire. Leurs réponses se recoupent.

Les groupes d'opposition sont souvent l'oeuvre d'un seul. Certains s'occupent de l'expérience quotidienne et d'autres de l'information générale. Ces derniers restent rétrogrades.

Le principal défaut des groupes d'opposition et leur manque de concertation.

En Tchécoslovaquie personne ne fait de politique. Le pouvoir appartient à un groupe de violents.

Entretien dans le cadre de la "Revolver-Revue", publication de Samizdat des jeunes dont S. Vondra est un des animateurs. Il est un porte parole de la charte 77.

Comparaison avec la révolution de 1918. Sur l'avenir de l'opposition, et de nouveau forum. L'enjeu est l'intégration européenne.

Le pouvoir n'est pas l'essentiel. Le problème est d'apprendre à gouverner et de détruire l'ancienne structure.

La société aspire à devenir socialiste et démocratique mais elle doit changer ses structures.

Relations entre le peuple et le gouvernement. L'important est la liberté, les droits constitutionnels et la solidarité.

Interview du pasteur R. Eppelmann, co-fondateur de "Renouveau démocratique" en R.D.A. sur l'organisation du mouvement.

Interview avec I. Bohme co-fondateur du parti social démocrate.

Le développement du secteur privé non agricole, avant et après 1976. Limites et avantages de la petite production agricole privée.

L. Karpinoki répond aux questions de La Nouvelle Alternative. Le philosophe est éditorialiste et "observateur politique" aux nouvelles de Moscou.

Interview de l'historien N. Okhatine. Sur le bilan des activités de "Mémorial" l'organisation conserve des archives et sortent des publications.

La psychiatrie soviétique est dans un état lamentable. La question de la réintégration au sein d'un organisme international se pose.

Au sein du parti communiste bulgare: une opposition circonspecte mais ouverte existe.

La mise en place d'un système démocratique n'est pas encore bien définie. L'opposition se rencontre.

Sur les objectifs et les possibilités du journal polonais. Le pays lui porte un certain intéret mais il suscite des polémiques.

Entretien avec M. Wiesniewska-Beau. Une critique des écoles d'Etat. Une école privée mais laique.

Décomposition de la société civile, misère morale, nationalisme et militarisation de la culture caractérise la Roumanie affirme M. Iongulescu dans un entretien.

Interrogations à propos du bloc soviétique et sur la rigidité du régime tchécoslovaque. Approfondir l'étude des causes intérieures, locales, du socialisme stalinien.