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Après une croissance explosive, la croissance des crédits à la consommation s'est ralentie fortement sous l'effet de la crise et du chomage. Les ménages arbitrent en faveur de l'épargne. (Tableau, graphiques)

La mutation de la distribution a été caractérisée par une croissance exceptionnelle, mais la perspective de gains de part de marché se réduit, obligeant les grandes surfaces à se restructurer. (Tableau)

Les magasins hard discount d'origine allemande viennent concurrencer les hypermarchés français, en abaissant au maximum les charges d'exploitation. (Tableau)

Si l'objectif du Royaume-Uni est de ramener l'inflation à un bas niveau, les autorités ont préféré se libérer de la contrainte de fixité des taux de changes, sous la pression des taux d'intérets allemands et de la spéculation.

Si le gouvernement de Mme Thatcher n'a jamais osé démanteler la Sécurité sociale, la politique a été de réduire massivement les dépenses publiques de santé qui ont augmenté les inégalités et diminuer les indemnisations du chomage. (Tableau)

L'épargne des ménages allemands a été très forte pendant 20 ans et a permis de financer la croissance. Mais la réunification a semble-t-il poussé les ménages à épargner pour eux-memes. (Tableau)

Au début des années 80, la compétitivité-prix allemande s'est détériorée sous l'effet du rencherissement du mark, malgré une activité d'innovation-intense.