Contenu du sommaire
Revue | Alternatives Economiques |
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Numéro | no 30, hors série, 4ème trimestre 1996 |
- Le sursaut de la fécondité - p. 6-7 1995 a été marquée par une remontée de la natalité en France mais rien ne laisse présager que cette tendance se poursuivra à long terme (graphiques).
- Les conséquences du vieillissement - p. 8-9 Le vieillissement de la population transforme la société française et compromet l'équilibre des retraites. Il existe plusieurs manières de résoudre le problème (graphiques).
- La population française entre emploi et famille - p. 10-11 Emploi, éducation, famille, comment se répartissent les 58,3 millions de Français? Le travail et le couple restent la norme, même si la crise lézarde l'édifice (graphiques).
- Le modèle familial dans la tourmente - p. 12-13 La famille française est-elle en crise? La précarité croissante des unoins le laisse présager. Pourtant elle joue un rôle déterminant comme amortisseur de la crise (graphiques).
- Ni plus ni moins nombreux qu'avant - p. 14-15 La proportion d'immigrés installés en France est identique à celle des années 30. Mais avec le durcissement des lois sur l'entrée et le séjour des étrangers, la population immigrée s'est modifiée (graphiques).
- Le diplôme: un atout essentiel - p. 16-17 Le diplôme reste un atout crucial pour s'insérer dans le monde du travail, mais tout le monde n'a pas les mêmes chances devant ce sésame: l'origine sociale pèse fortement (graphiques).
- Le chômage sélectif - p. 18-19 Le sexe, l'âge, les diplômes, l'ancienneté dans le chômage... tout concourt à rendre les demandeurs d'emploi inégaux dans leur quête d'un travail (graphiques).
- Le chômage nourrit la pauvreté - p. 20-21 Quatre millions de personnes vivent en France avec un revenu principal qui ne dépasse pas 3000 francs par mois. La pauvreté touche une population de plus en plus jeune (graphiques).
- La tertiarisation des emplois - p. 22-23 Regards sur la répartition de la population française: le monde agricole est presque marginal, l'industrie perd des emplois et le tertiaire compense comme il peut (tableaux).
- Le crépuscule des ouvriers? - p. 24-25 La part des ouvriers dans la population active ne cesse de se réduire. Cette catégorie se transforme en un ensemble plus diffus qui englobe aussi les employés (graphiques).
- L'expansion des smicards - p. 26-27 Près d'un salarié sur huit est payé au Smic, une proportion en augmentation. De plus, la progression du pouvoir d'achat du salaire minimum évolue moins vite que celle du salaire moyen (graphiques).
- Le boom du temps partiel - p. 28-29 Le temps partiel ne cesse de se développer, notamment depuis 1993, bien souvent par contrainte, plus que par choix personnel (graphiques).
- Le revenu, vecteur des inégalités - p. 30-31 Le revenu demeure la principale source des inégalités de mode de vie. Patrimoine, emploi ou loisirs, les distinctions restent fortes dans la société française (graphiques).
- Locataires, le retour - p. 32-33 Près de quatre ménages sur dix sont locataires en France. Beaucoup ont renoncé à la propriété faute de moyens, mais les loyers pèsent de plus en plus lourd dans leurs budgets (graphiques).
- L'inexorable ascension des dépenses de santé - p. 34-35 L'augmentation des dépenses de santé, que les gouvernements n'arrivent pas à réduire, ne profite pas à l'ensemble des français puisque parallèlement leur couverture sociale se dégrade (graphiques).
- La question du financement de la protection sociale - p. 36-37 Financer la protection sociale sur les salaires est possible tant que le chômage n'est pas massif. C'est alors à l'impôt de prendre le relais, à condition que la croissance soit au rendez-vous (graphiques).
- La Reine Voiture - p. 38-39 Le parc automobile français ne cesse de croître, avec l'enrichissement des ménages. Mais cet essor a son revers négatif en matière d'environnement et de santé.
- Le territoire de l'industrie en France - p. 40-41 La plupart des activités industrielles se regroupent dans des zones limitées du territoire mais les vieilles régions industrielles restent présentes (carte).
- L'envolée des exportations - p. 42-43 L'amélioration du commerce extérieur de la France s'explique par les progrès de la compétitivité, mais ces chiffres appellent quelques précisions (graphiques).
- Les taux d'intérêt meurtriers - p. 44-45 Les taux d'intérêt élevés en Europe brident la croissance sur le Vieux continent avec la priorité anti-inflation et le maintien de la parité franc-mark (graphiques).
- Pourquoi la masse monétaire a recommencé à augmenter - p. 46-47 Enfin, la masse monétaire a recommencé à augmenter en France. Analyse des raisons de cette évolution (graphiques).
- A qui profite la croissance? - p. 48-49 En dix ans, le PIB de la France a augmenté de 150 milliards de francs. Les salaires en ont profité, mais de façon inégale (graphiques).
- Idées reçues au sujet de l'impôt - p. 50-51 Les prélèvements de l'Etat français augmentent? C'est vrai pour les taxes destinées à la protection sociale, mais faux pour l'impôt sur le revenu, pour le plus grand bonheur des contribuables les plus aisés (graphiques).
- Coup de frein sur la fécondité - p. 52-53 Le taux de fécondité diminue dans de nombreux pays du Sud; les démographes ont dû revoir à la baisse leurs estimations sur la croissance démographique mondiale (tableaux).
- Ecole: une amélioration en trompe-l'oeil - p. 54-55 Regards sur la situation de l'éducation dans le monde: l'échec des politiques de développement et le surendettement des pays pauvres pèsent sur le budget d'éducation et compromettent l'avenir (tableaux).
- Les pays riches face à leurs chômeurs - p. 56-57 Tous les pays du Nord ne sont pas égaux devant le chômage. L'Europe est particulièrement mal lotie (graphiques).
- La nouvelle répartition Nord-Sud - p. 58-59 La part des produits primaires dans les exportations mondiales diminue. Cette tendance profite paradoxalement aux pays du Sud qui parviennent à diversifier leurs activités de production (graphiques).
- L'automobile toujours en tête des firmes mondiales - p. 60-61 Analyse des classements des plus grandes entreprises mondiales et regards sur la hiérarchie des secteurs et des pays (tableaux).
- Les faux coupables du chômage - p. 62-63 Les pays à bas salaires seraient-ils les grands coupables de l'augmentation du chômage dans les pays riches? La responsabilité de certaines nations développées est largement sous-estimée (graphiques).
- L'essor des investissements directs à l'étranger - p. 64-65 Depuis le recul de 1991, les investissements directs à l'étranger ont repris et atteignait un niveau record. Mais les pays les plus pauvres restent encore en marge du mouvement.
- Toujours plus - p. 66-67 Le commerce international continue à progresser plus rapidement que l'activité. Il est tiré par l'essor du commerce entre pays industrialisés et par l'émergence des pays de l'Asie de l'Est.
- Croissance et récession au Nord - p. 68-69 Il n'y a pas de miracle économique des nouveaux pays industrialisés, mais plutôt un rattrapage. Il n'y a pas de récession chez les nations riches mais seulement une croissance moins rapide (graphiques, tableaux).
- La fin du marasme? - p. 70-71 Les pays du Sud seraient en passe de sortir du sous-développement? Si l'Asie décolle, l'Afrique et l'Amérique Latine continuent leur déclin meurtrier (graphiques).
- Le fossé entre riches et pauvres se creuse - p. 72-73 La planète n'a jamais été aussi riche, et pourtant les inégalités s'aggravent entre pays riches et pays pauvres. Certains pays du Sud sont tirés d'affaire mais d'autres peinent à sortir du sous-développement (graphiques).
- Dette croissante contre dette catastrophe - p. 74-75 La dette des pays en développement est en augmentation même si de nombreux pays ont réussi à réduire le poids de leur endettement par rapport à leurs exportations (graphiques).
- Transition à plusieurs vitesses - p. 76-77 Analyse de la situation économique contrastée des anciens pays communistes d'Europe où la stabilité ou l'instabilité politique est un facteur déterminant (graphiques).