Articles indexés

Revue Le Courrier des Pays de l'Est Mir@bel
Numéro no 439, avril-mai 1999

Sélection d'articles

  • La contagion de la crise russe à la C.E.I. - Benaroya F. p. 3-12 avec résumé avec indexation
    La crise russe aggrave les déséquilibres économiques des pays de la C.E.I., affectant leur croissance et affaiblissant la cohésion de la zone.
  • Arménie 1998-1999: Une certaine amélioration - Kahn M. p. 13-19 avec résumé avec indexation
    En Arménie, les effets de la crise russe ont été peu sensibles et l'industrie comme l'agriculture ont obtenu de bons résultats. Mais malgré un retour à la discipline monétaire et budgétaire, il reste à assainir l'économie, et le niveau de vie réel de la population est difficile à évaluer.
  • Azerbaïdjan 1998-1999: un optimisme à tempérer? - Kahn M. p. 20-25 avec résumé avec indexation
    Après une embellie de 1996 à 1997, l'Azerbaïdjan a souffert de la chute des prix du pétrole et du krach russe, et le chômage pourrait atteindre 40%.
  • Biélorussie 1998-1999: la désarticulation d'un "modèle" - Lallemand J.C. p. 26-33 avec résumé avec indexation
    En Biélorussie, le Président continue à affirmer son autoritarisme politique, à repousser les réformes, refusant toute concession aux institutions financières internationales et remettant en cause la privatisation, pendant que la population se paupérise.
  • Géorgie 1998-1999: la rechute - Kahn M. p. 34-39 avec résumé avec indexation
    En équilibre politique précaire, la Géorgie a subi en 1998 de durs revers économiques. Mais la privatisation des PME est en bonne voie et la réorientation de ses échanges vers d'autres pays se confirme.
  • Kazakhstan 1998-1999: la croissance hypothéquée par l'environnement internationale - Giroux A. p. 40-48 avec résumé avec indexation
    La croissance est hypothéquée en 1998 par les effets de la crise russe et par la chute des prix du pétrole, ce qui alimente les tensions sociales.
  • Kirghizstan 1998-1999: les limites d'un "exemple" - Feigelson K. p. 49-56 avec résumé avec indexation
    La crise financière russe et la chute des prix internationaux des matières premières ont déprécié la monnaie et donné un coup d'arrêt aux privatisations. Forte inflation et faible croissance: la population est l'une des plus pauvres dans la C.E.I.
  • Moldavie 1998-1999: l'effondrement - Esanu T. p. 57-64 avec résumé avec indexation
    L'année 1998 a été pour la Moldavie celle de l'effondrement, due notamment à la crise russe. Et malgré le soutien financier des institutions internationales, le niveau de vie de la population se détériore et le pouvoir doit entreprendre des réformes d'une austérité draconienne.
  • Ouzbékistan 1998-1999: des acteurs économiques sacrifiés - p. 65-74 avec résumé avec indexation
    Encore marquée par son passé soviétique, l'économie s'essouffle et est très affectée par la baisse, en 1998, des cours mondiaux des matières premières. Or le régime s'enferme dans sa logique gradualiste, décourageant les investisseurs étrangers.
  • Russie 1998-1999: un calme suspect après la tempête - Crosnier M.A. p. 75-91 avec résumé avec indexation
    En 1998, la politique de stabilisation économique menée jusqu'alors a été sanctionnée lourdement. La faillite de l'Etat est inscrite dans l'ordre des choses. Le gouvernement Primakov a limité les dégâts mais n'a pas pu empêcher la dévaluation du rouble.
  • Tadjikistan 1998-1999: une légère reprise dans une paix fragile - Giroux A. p. 92-97 avec résumé avec indexation
    Le pays se remet lentement de la guerre civile. Soutenu par le FMI, l'économie n'en est pas moins affectée par la chute des prix mondiaux du coton et la crise financière russe.
  • Turkménistan 1998-1999: une économie dans l'impasse - Giroux A. p. 98-105 avec résumé avec indexation
    La politique économique est marquée par l'attentisme, le dirigisme du président et l'incohérence des réformes, ce qui en fait le seul pays de la C.E.I. à n'avoir pas passé d'accord avec le F.M.I.
  • Ukraine 1998-1999: au bord du gouffre - Duchene G. p. 106-118 avec résumé avec indexation
    Face aux blocages du Parlement, le gouvernement hésite à engager les réformes nécessaires mais impopulaires et échoue à définir une stratégie économique cohérente.