Le 8 octobre 2000 ont eu lieu des élections dans les 589 communes du pays pour le renouvellement des conseils communaux. Le présent Courrier hebdomadaire est consacré à la présentation des résultats de ce scrutin dans les communes de la Région wallonne et de la Région de Bruxelles-capitale. Des comparaisons avec des scrutins communaux précédents sont opérées (outre les résultats des scrutins de 1994, ceux de 1988 et de 1982 pour la Wallonie sont rappelés). L'analyse privilégie à la fois le poids relatif des principales forces politiques en présence et le recensement des majorités locales. Pour la Wallonie, des cartes des zones d'implantation des principaux partis politiques et du premier parti de chaque commune ont été dressées. Le dépôt de listes sous numéro national est un indicateur du degré de politisation explicite du scrutin. C'est aussi une des mesures les plus visibles du poids électoral et de l'implantation locale des partis. Des tableaux établis par arrondissement reprennent, complétés par des commentaires, les premiers partis ou les premières listes (de cartel ou à appellation locale) en indiquant s'ils disposent d'une majorité absolue en voix et en sièges, d'une majorité absolue en sièges ou d'une majorité relative. Et ceci pour toutes les communes wallonnes et bruxelloises. La situation des grandes entités urbaines wallonnes fait l'objet d'analyses complémentaires. Des références sont faites pour les communes-cantons de plus 50.000 habitants aux scrutins législatif et régional de 1999. Quant aux communes bruxelloises, la complexité des stratégies de dépôt des listes et les différences importantes de ces stratégies d'une élection à l'autre justifient une analyse adaptée.
Le 8 octobre 2000 ont eu lieu des élections dans les 589 communes du pays pour le renouvellement des conseils communaux. Le présent Courrier hebdomadaire est consacré à la présentation des résultats de ce scrutin dans les communes de la Région wallonne et de la Région de Bruxelles-capitale. Des comparaisons avec des scrutins communaux précédents sont opérées (outre les résultats des scrutins de 1994, ceux de 1988 et de 1982 pour la Wallonie sont rappelés). L'analyse privilégie à la fois le poids relatif des principales forces politiques en présence et le recensement des majorités locales. Pour la Wallonie, des cartes des zones d'implantation des principaux partis politiques et du premier parti de chaque commune ont été dressées. Le dépôt de listes sous numéro national est un indicateur du degré de politisation explicite du scrutin. C'est aussi une des mesures les plus visibles du poids électoral et de l'implantation locale des partis. Des tableaux établis par arrondissement reprennent, complétés par des commentaires, les premiers partis ou les premières listes (de cartel ou à appellation locale) en indiquant s'ils disposent d'une majorité absolue en voix et en sièges, d'une majorité absolue en sièges ou d'une majorité relative. Et ceci pour toutes les communes wallonnes et bruxelloises. La situation des grandes entités urbaines wallonnes fait l'objet d'analyses complémentaires. Des références sont faites pour les communes-cantons de plus 50.000 habitants aux scrutins législatif et régional de 1999. Quant aux communes bruxelloises, la complexité des stratégies de dépôt des listes et les différences importantes de ces stratégies d'une élection à l'autre justifient une analyse adaptée.
