Contenu du sommaire : Conflits familiaux et droit collaboratif

Malgré la rhétorique du « Grand Satan », l'image de la culture occidentale en Iran est moins négative qu'on le dit trop souvent. Il y a intérêt à connaître l'histoire de ce pays pour éviter la diabolisation et comprendre quels peuvent être les éléments d'ouverture bien présents dans la société.

Après l'élection de Michelle Bachelet, il semble que le Chili soit au début d'un nouveau cycle de son histoire. La relecture des années de dictature permet de se libérer de certains héritages et d'avancer sur la voie des réformes. Malgré une relative défiance à l'égard de la classe politique, la société, particulièrement la jeunesse, veut s'investir dans la construction sociale.

Le Débat National sur la Transition Énergétique a mis en évidence la nécessité de réduire notre consommation d'énergie. L'accent est mis en particulier sur la rénovation du bâtiment. Cela suppose la mise en place de financements nouveaux sous la responsabilité des pouvoirs publics.

Le monde dans lequel nous vivons, à force d'en appeler au dialogue et de rechercher le consensus, en arrive à ne plus affronter les problèmes. Dans ce contexte, aucune place n'est faite au conflit. Le droit de la famille fournit une bonne illustration de ces impasses dans lesquelles nous nous sommes engagés.

Plus de cinquante ans après l'ouverture du Concile Vatican II, la question rebondit avec une particulière acuité : ce Concile dont on a célébré la puissance d'innovation n'aurait-il pas brisé une continuité essentielle à la foi chrétienne ? Parfois l'interrogation se fait radicale : l'intégrité de la foi a-t-elle été sauvegardée ?

Le pape François encourage la responsabilisation des Églises locales. L'Afrique, où l'augmentation du nombre de catholiques est la plus forte, doit relire son histoire pour prendre davantage sa destinée en main. Il importe en particulier de remettre les laïcs au centre de l'Église pour contrecarrer un cléricalisme encore trop présent.

William Blake, graveur de son état, vécut en Angleterre les débuts de l'industrialisation, le tumulte né de la Révolution française, les guerres napoléoniennes. Mais il voyait au-delà, à travers son regard de poète, un monde de vision, seul réel selon lui qui soit source de vie.