Contenu du sommaire

Echange avec trois jésuites colombiens. Entre guérillas, paramilitaires, gouvernement, marché de la drogue et interventions ambivalentes de l'étranger, la situation est confuse et les chances de paix, fragiles. Elles existent pourtant.

Lorsque l'un de nos proches vient de mourir, nous ne comprenons pas immédiatement ce que cela signifie. Bientôt, nous serons en deuil. Mais comment peut-on l'être ? Quelles théories a-t-on faites de cette situation ? Et que deviennent aujourd'hui les manières de la vivre ?

Nul ne peut esquiver la question « M'aime-t-on ? » Nul ne peut prétendre ne se l'être jamais posée, ni se désintéresser de la réponse – parce que nul humain ne peut supporter sans défaillir l'hypothèse d'être sans être aimé, au moins à titre de possibilité.

La Bible est le contraire d'un texte indifférent à notre malheur. Le Livre et son récit rencontrent l'humain là où il est et comme il est, sans l'amputer de la violence avec laquelle il est aux prises, dont il est l'auteur et/ou la victime.

La présence des Orthodoxes en France – Grecs, Serbes, Russes – est le résultat de diverses émigrations économiques ou politiques. C'est aux Russes réfugiés dans les années 20 que l'on doit l'essentiel de la culture et de la richesse théologiques.