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Revue | Etudes : revue de culture contemporaine |
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Numéro | Tome 395, no 3, septembre 2001 |
Texte intégral en ligne | Accessible sur l'internet |
- Hors du labyrinthe - Françoise Le Corre
- La Charte européenne et la laïcité - Pierre De Charentenay Au moment où l'Union s'ouvre à l'Est, elle se donne des principes et des règles de vie commune. Rien n'était gagné d'avance, tant sont différentes les cultures et les histoires en présence. Dans ce contexte, on comprend que la place du religieux ait posé des questions dans la rédaction du Préambule de la Charte.
- L'Italie de Berlusconi - Hugues Portelli
- La France incarcérée - Anne-Marie Marchetti Le livre de Véronique Vasseur et les travaux des commissions d'enquête parlementaire ont imposé l'idée qu'il était urgent de se préoccuper de l'état de nos prisons et de redéfinir leurs missions. Alors qu'est débattu au Parlement le projet de loi pénitentiaire, il convient d'ajuster autant que possible constats et perspectives.
- Note furtive sur la présence - Jean-Louis Chrétien Est furtif ce qui vient sans rendez-vous. Nietzsche disait que les grands événements arrivent « sur des pattes de colombe ». L'Ecriture Sainte aime à répéter que le Seigneur viendra « comme un voleur »... C'est ainsi que, dans le flot du bavardage, tout à coup une parole brise le convenu, pour faire apparaître une autre dimension de l'existence.
- Transmettre la foi - Gaston Piétri Rien n'est perdu pour une possibilité de « proposer la foi dans la société actuelle ». Ce qui s'efface, c'est l'inscription très précoce dans les esprits de références et d'attitudes qui peuvent rester des « matériaux sans emploi », mais aussi bien être un jour « réemployés » dans une authentique démarche de foi.
- La pédagogie des jésuites : le "Ratio" - Jean-Yves Calvez
- Le discours de Francfort - Assia Djebar Femme écrivain issue de « l'Algérie tumultueuse et encore déchirée », Assia Djebar retrace son parcours en écriture : « J'écris donc, et en français, langue de l'ancien colonisateur, qui est devenue et irréversiblement celle de ma pensée, tandis que je continue à aimer, à souffrir, également à prier (quand parfois je prie) en arabe, ma langue maternelle. »
- Rossellini, les images et le vide - Jean Collet Celui qui fut l'un des fondateurs du néo-réalisme italien refusera de définir celui-ci par ses contenus. Il dira tout simplement que, pour lui, le néo-réalisme correspond à « une attitude morale d'humilité ». Le cinéma de Rossellini inaugure un rapport neuf avec la question du sens.
- Figures libres : Comment l'entendez-vous ?