Contenu du sommaire : L'illusion des primaires

La candidature de Donald Trump, à l'encontre de l'élite du Parti républicain, est un phénomène qui reflète la situation d'une partie de la société américaine. Il profite du soutien d'un électorat « oublié », sensible à un discours radical. Sa candidature reflète la polarisation de l'électorat.

Carrefour stratégique composé de l'Arménie, de l'Azerbaïdjan et de la Géorgie, le Caucase du Sud est une région de plus en plus fragmentée. Pris dans l'étau des puissances extérieures, il est également caractérisé par la persistance de « conflits gelés » depuis la fin de la période soviétique.

Aujourd'hui, les primaires semblent être devenues indispensables pour préparer une élection présidentielle. Il s'agit de permettre à ceux qui le souhaitent de désigner les personnalités parmi lesquelles le peuple choisira. L'histoire des primaires et le contexte politique qui les a peu à peu installées dans le paysage politique français permettent de mieux souligner les nombreux pièges de cette innovation.

L'augmentation du nombre de personnes âgées en France amène à s'interroger sur la manière dont elles sont traitées. Le droit des aînés est encore insuffisamment développé, par contraste avec d'autres pays. Pourtant, le vieillissement pourrait offrir une chance de penser le vivre-ensemble avec des concepts nouveaux.

Est-il pertinent et réaliste de dire que la France est en guerre ? La question a provoqué nombre de commentaires dans les médias : Quand peut-on parler de guerre ? Et oserons-nous dire que nous avons un ennemi ? À force d'être mobilisées, ces interrogations ont fini par s'imposer comme un débat d'experts, d'érudits et d'intellectuels.

À l'heure même où, par ailleurs, le génie spéculatif des théologiens allait engendrer les grands œuvres des sommes théologiques et autres traités, des femmes prennent la parole, pas seulement pour façonner la piété ou susciter la dévotion, mais pour théologiser à leur tour, pour penser Dieu autrement.

L'épisode du toucher de Thomas, tel que Caravage l'a peint, se présente sous un aspect inattendu : si le Christ force l'Apôtre à « entrer en lui », ce n'est pas seulement pour prouver qu'il est réellement ressuscité, mais aussi pour vaincre sa résistance à croire et pour lui offrir le don d'une sorte d'avant-goût de l'incorporation qui l'attend au Ciel, s'il croit. En cela, le Thomas du Caravage est une figure du chrétien en général, pas seulement de celui qui doute, mais aussi de celui qui hésite, diffère la conversion et ne se dispose pas à accueillir le don de la grâce.