Contenu du sommaire : Amazonies partagées 1

Cet article cherche à présenter les résultats principaux de l'analyse conduite par le Réseau Amazonie d'Information Socio-environnementale Géo-référéncé (RAISG) et publiée dans l'atlas l'Amazonie Sous Pression 2020. Le domaine analysé s'étend sur huit pays amazoniens et pour la Guyane française, en contribuant à la construction d'une vision régionale. Les résultats démontrent que 65,8% de l'Amazonie est soumise à un certain type de préssion installée ou en cours, et 52% de la région présente des symptômes ou des conséquences de l'activité humaine.

Depuis des décennies, les scientifiques mettent en garde contre les effets que la déforestation en Amazonie pourrait avoir à la fois sur le régime pluviométrique local et sur l'altération globale. L'un des paysages les plus vulnérables de l'Amazonie à cet égard est l'Amazonie méridionale, dont la Bolivie fait partie, et c'est précisément là que se produisent les transformations les plus importantes en termes de perte de forêts primaires.

Depuis les années 1960, l'Amazonie a subi diverses transformations spatiales causées par des interventions étatiques et privées, transformations qui ont complexifié le réseau urbain régional et créé des liens locaux, régionaux, internes et interrégionaux par la construction d'autoroutes, redessinant la configuration des flux en Amazonie. Dans ce contexte, cet article vise à mettre en évidence les transformations spatiales à l'échelle macro-régionale impliquant les routes, la circulation et le transport. Pour mener à bien cette recherche, des enquêtes bibliographiques et huit études de terrain approfondies ont été réalisées, couvrant plus de 21 000 kilomètres de routes amazoniennes entre 2019 et 2023. Après le travail de terrain, nous avons identifié des dynamiques pionnières actives, des articulations bimodales, une consolidation des routes avec des fronts pionniers actifs et un réseau complexe de circulation et de transport de passagers et de marchandises.

Dans cet essai, les auteurs réfléchissent à la façon dont les Amazones des rivières et des routes sont de plus en plus hybrides et imprégnées de flux d'information. Et ils montrent que, dans des conflits de visibilité et pour élargir le récit sur la région et ses habitants, plusieurs mouvements sociaux (notamment indigènes) se sont appropriés les outils de communication analogiques et numériques, de manière combinée, remettant en question à la fois la programmation du débat public et comme les moyens de communication hégémoniques.

L'article repose sur une visualisation cartographique des données la publication de l'IBGE (Institut Brésilien de géographie et Statistiques), Perfil dos municípios brasileiros 2020, une enquête détaillée sur la structure, la dynamique et le fonctionnement des institutions publiques municipales. Parmi les 762 variables disponibles, treize concernent les ressources humaines des communes et leur montre une régionalisation très intéressante. Les cartes qui sont élaborées en les traitant mettent en évidence des différences de culture et de pratiques administratives entre les régions plus développées et celles où les pratiques politiques sont les plus archaïques : oppose d'une part le recours au travail des étudiants et de l'autre une véritable carte du clientélisme.

La technologie est considérée comme un vecteur important du développement agricole brésilien. Le modèle de production brésilien a contribué à résoudre des problèmes historiques d'approvisionnement alimentaire, tout en élargissant sa participation au commerce international. Cependant, le secteur agricole reste confronté à des défis historiques, tels que la réduction des impacts environnementaux et des inégalités sociales, en plus de l'émergence de nouveaux défis. Dans ce contexte, l'objectif est de présenter une réflexion sur la dynamique du secteur agricole brésilien entre 2010 et 2020, en vue d'identifier de nouveaux défis. Cette réflexion adopte une approche holistique et critique, basée sur des données secondaires et des informations issues de la littérature. Les résultats montrent l'importance socio-économique du secteur agricole, mais renforcent également la persistance d'anciens défis et révèlent l'émergence de nouveaux, tels que la dépendance extérieure et les ressources naturelles non renouvelables pour réaliser des gains de productivité et augmenter la production. Enfin, même avec l'augmentation de l'intensité technologique, l'expansion du secteur agricole continue à être associée à l'expansion des superficies, ce qui n'est pas observé dans les analyses globales.

La technologie est considérée comme un vecteur important du développement agricole brésilien. Le modèle de production brésilien a contribué à résoudre des problèmes historiques d'approvisionnement alimentaire, tout en élargissant sa participation au commerce international. Cependant, le secteur agricole reste confronté à des défis historiques, tels que la réduction des impacts environnementaux et des inégalités sociales, en plus de l'émergence de nouveaux défis. Dans ce contexte, l'objectif est de présenter une réflexion sur la dynamique du secteur agricole brésilien entre 2010 et 2020, en vue d'identifier de nouveaux défis. Cette réflexion adopte une approche holistique et critique, basée sur des données secondaires et des informations issues de la littérature. Les résultats montrent l'importance socio-économique du secteur agricole, mais renforcent également la persistance d'anciens défis et révèlent l'émergence de nouveaux, tels que la dépendance extérieure et les ressources naturelles non renouvelables pour réaliser des gains de productivité et augmenter la production. Enfin, même avec l'augmentation de l'intensité technologique, l'expansion du secteur agricole continue à être associée à l'expansion des superficies, ce qui n'est pas observé dans les analyses globales.