Titre | Le rôle des organisations de la culture dans l'acculturation des pays en développement | |
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Auteur | Sandrine Basilico | |
Revue | Communication & Organisation | |
Numéro | no 26, janvier 2005 La communication des nouvelles éthiques de l'entreprise | |
Rubrique / Thématique | Analyses |
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Page | 149-162 | |
Résumé |
Ce qui frappe lors de l'évocation des organisations de la culture – des industries de l'information et de la culture aux organismes internationaux tels l'UNESCO ou l'OMC – c'est l'extrême diversité des situations, l'émission et la production de services culturels se faisant, schématiquement, sur un unique axe nord-sud. Aujourd'hui, ce qui est en jeu dans l'hégémonie culturelle et l'emprise privée sur les industries de la culture, c'est la capacité des pays à produire leur propre culture et la propension des peuples à résister à l'érosion, de sorte qu'on ne peut parler de « mondialisation » si l'on entend par là une répartition des biens culturels industrialisés et marchandisés sur l'ensemble de la planète ou un ethnocide généralisé. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Résumé anglais |
We can first notice that roughly speaking, cultural production and broadcasting are primarily directed along a North-South axis . Bearing this in mind, one is struck by the extremely wide range of situations related to cultural organisations - including the industries commodifying media and culture as well as international organisations, such as UNESCO or the WTO. Nowadays, what is at stake, is countries' capacity to produce their own culture and to resist cultural erosion, so much so that “globalisation” is not a proper term if it's defined as “industrialized cultural goods repartition” or “generalized ethnocide”. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://communicationorganisation.revues.org/3283 |