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Titre La théorie des coalitions selon William Rik. Essai d'application aux élections municipales françaises de 1965 et 1971
Auteur Gllbert Bonnet Et Yves Schemeil
Mir@bel Revue Revue Française de Science Politique
Numéro 22e année, n°2, 1972
Page 269-282
Résumé La théorie des coalitions selon William Riker. Essai d'application aux élections municipales francaises de 1965 et 1971, deGilbert Bonnet et Yves Schemeil L'application du modèle de Riker, inspiré de la théorie des jeux, aux élections municipales françaises de 1965 et 1971 devrait nous permettre de constater une diminution de l'étendue des coalitions sortantes d'un scrutin à l'autre. En effet, Riker part de l'hypothèse que les coalitions gagnantes ajustent leur taille dans le but de n'avoir que le strict nécessaire pour garder la mairie. Mais l'analyse statistique des variations de taille des winning coalitions dans le cas français ne justifie pas cette hypothèse. Est-elle erronée ? La théorie des jeux est-elle inapplicable au niveau de notre analyse ? Pour répondre à cette double question, il faudrait compléter cette étude par une série de monographies susceptibles d'apporter dans chaque cas des précisions sur les facteurs qui interviennent dans la stratégie municipale des coalitions politiques. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 269-282] mean the hypothesis is not valid Is game theory inapplicable at this level Further studies are needed to -furnish an answer to these questions in particular case studies bringing details concerning the -factors which play part in the municipal strategy of political coalitions .Revue fran aise de science politique XXII 2) avril 1972 pp 269-282
Source : Éditeur (via Persée)
Résumé anglais Coalition theory according to Riker. An application of the theory to French municipal elections between 1965 and 1971, by Gilbert Bonnet and Yves Schemeil The application of Riker's model, based on game theory, to the French municipal elections of 1965 and 1971 should enable us to show that the size of incumbent coalitions becomes more limited from one election to the next. Riker's hypothesis is that winning coalitions adjust their size with a view to being just large enough to keep the town-hall. But the statistical analysis of variations in size of winning coalitions in France do not bear out this hypothesis. Does this mean the hypothesis is not valid? Is game theory inapplicable at this level? Further studies are needed to furnish an answer to these questions - in particular case-studies bringing details concerning the factors which play a part in the municipal strategy of political coalitions. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 269-282]
Source : Éditeur (via Persée)
Article en ligne http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsp_0035-2950_1972_num_22_2_419002