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Revue | Revue Française de Science Politique |
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Numéro | 22e année, n°2, 1972 |
Texte intégral en ligne | Accessible sur l'internet |
- Bilan des élections municipales de mars 1971 dans les villes de plus de 30 000 habitants - Frédéric Bon, Jean Ranger p. 213-237 Bilan des élections municipales de mars 1971 dans les villes de plus de 30 000 habitants, par Frédéric Bon et Jean Ranger Dans les 193 villes de plus de 30 000 habitants, où s'applique le scrutin de liste majoritaire à deux tours, les élections municipales de mars 1971 marquent une étape significative de l'histoire électorale française sous la Cinquième République. L'enracinement local des formations de la majorité s'effectue aux dépens de la droite d'opposition, à la fois sous la forme de déplacements d'électeurs et de modifications des systèmes d'alliances. En regard, les formules d'unité de la gauche connaissent une extension. Elles apparaissent cependant essentiellement défensives, permettant de préserver l'acquis ou de limiter les pertes. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 213-237]The March 1971 municipal elections in towns of over 30 000 inhabitants, by Frédéric Bon and Jean Ranger In the 193 towns with over 30 000 inhabitants where the two ballot party-list system is applied, the municipal elections of March 1971 mark a significant stage in the history of French elections under the 5th Republic. The implantation of the majority parties locally occurs at the expense of the right-wing opposition, both by rallying electors and by modifying the system of alliances. In the opposite camp the idea of a union of the left is spreading. But it is essentially defensive, aiming at preserving the votes obtained in former elections and limiting the losses. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 213-237]
- Vote municipal et vote législatif. Évolution de 1965 à 1971 dans les villes de plus de 30 000 habitants - Élisabeth Dupoirier, Gérard Grunberg p. 238-268 Vote municipal et vote législatif. Evolution de 1965 à 1971 dans les villes de plus de 30 000 habitants, par Elisabeth Dupoirier et Gérard Grunberg La résistance des centres aux élections municipales semble aller à contre-courant de la tendance à la bipolarisation des forces politiques qui s'affirme depuis 1962 aux élections législatives. Une comparaison attentive des configurations que dessinent les électorats à ces deux types d'élections dans les villes de plus de 30 000 habitants depuis 1965 permet de préciser les décalages existants. La bipolarisation se réalise, quoiqu'avec retard et de manière moins générale, aux élections municipales. Même lorsque le rapport des forces s'inverse à l'occasion de ces dernières, phénomène au total assez minoritaire, des éléments communs aux configurations municipales et législatives donnent à la structure générale des forces politiques une unité réelle. La transformation du rapport des forces aux élections législatives doit avoir des conséquences aux élections municipales. Inversement, sans apparition d'un centre législatif, les tentatives du centrisme municipal sont vouées à l'échec. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 238-268]Voting in municipal and general elections. Evolution from 1965 to 1971 in towns of over 30 000 inhabitants, by Elisabeth Dupoirier and Gérard Grunberg The maintaining of their strength by the centre parties in municipal elections seems to run against the tendancy towards a bi-polarisation of the political forces which has become more and more evident since 1962 in general elections. A detailed comparison of the voting clusters of the electorate since 1965 in these two types of elections in towns of over 30 000 inhabitants enables us to perceive the differences between them. There is a certain bi-polarisation in municipal elections, though it has come later and is less general. Even when the comparative strength is inversed in municipal elections - a phenomenon which is fairly rare - common elements in municipal and general election clusters give the general structure of the political forces a real unity. The change in relative strength in general elections must have an influence in general elections any attempt to implant the centre in municipal elections is bound to fail. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 238-268]
- La théorie des coalitions selon William Rik. Essai d'application aux élections municipales françaises de 1965 et 1971 - Gllbert Bonnet Et Yves Schemeil p. 269-282 La théorie des coalitions selon William Riker. Essai d'application aux élections municipales francaises de 1965 et 1971, deGilbert Bonnet et Yves Schemeil L'application du modèle de Riker, inspiré de la théorie des jeux, aux élections municipales françaises de 1965 et 1971 devrait nous permettre de constater une diminution de l'étendue des coalitions sortantes d'un scrutin à l'autre. En effet, Riker part de l'hypothèse que les coalitions gagnantes ajustent leur taille dans le but de n'avoir que le strict nécessaire pour garder la mairie. Mais l'analyse statistique des variations de taille des winning coalitions dans le cas français ne justifie pas cette hypothèse. Est-elle erronée ? La théorie des jeux est-elle inapplicable au niveau de notre analyse ? Pour répondre à cette double question, il faudrait compléter cette étude par une série de monographies susceptibles d'apporter dans chaque cas des précisions sur les facteurs qui interviennent dans la stratégie municipale des coalitions politiques. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 269-282] mean the hypothesis is not valid Is game theory inapplicable at this level Further studies are needed to -furnish an answer to these questions in particular case studies bringing details concerning the -factors which play part in the municipal strategy of political coalitions .Revue fran aise de science politique XXII 2) avril 1972 pp 269-282Coalition theory according to Riker. An application of the theory to French municipal elections between 1965 and 1971, by Gilbert Bonnet and Yves Schemeil The application of Riker's model, based on game theory, to the French municipal elections of 1965 and 1971 should enable us to show that the size of incumbent coalitions becomes more limited from one election to the next. Riker's hypothesis is that winning coalitions adjust their size with a view to being just large enough to keep the town-hall. But the statistical analysis of variations in size of winning coalitions in France do not bear out this hypothesis. Does this mean the hypothesis is not valid? Is game theory inapplicable at this level? Further studies are needed to furnish an answer to these questions - in particular case-studies bringing details concerning the factors which play a part in the municipal strategy of political coalitions. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 269-282]
- Les stratégies du P.C.F. et de l'U.D.R. dans les villes de plus de 30 000 habitants - Georges Lavau p. 283-295 Les stratégies du P.C.F. et de l'U.D.R. dans les villes de plus de 30 000 habitants, par Georges Lavau Etant donné la règle du jeu imposée par le système électoral pour les villes de plus de trente mille habitants, l'étendue et la composition des coalitions deviennent des éléments significatifs des stratégies des grandes formations politiques. La comparaison de ces stratégies aux élections municipales de 1965 et de 1971 fait apparaître que le Parti communiste a mené une stratégie d'unité surtout en faveur du Parti socialiste et que l'U.D.R. a surtout cherché à pénétrer le système politique municipal, même avec une participation modeste, en privilégiant les coalitions de "Majorité élargie". Dans l'un et l'autre cas, ces stratégies montrent que l'enjeu réel n'est pas seulement de réaliser des gains municipaux immédiats, mais de se placer pour les élections législatives. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 283-295]The strategies of the P.C.F. and the U.D.R. in towns of over 30 000 inhabitants, by Georges Lavau Given the rules laid down by the electoral system for towns of over 30 000 inhabitants the scope and the make-up of coalitions become significant elements in the strategies of the major political parties. A comparison of the strategies adopted in the municipal elections in 1965 and in 1971 shows that the Communist Party's strategy has been above all one of unity with the socialist party and that the U.D.R. has above all tried to play a part in the municipal political system, even when its part in the list was reduced, favouring coalitions of the "enlarged majority" type. These strategies show that the real issue is not merely to gain seats on local councils but also to prepare the general election. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 283-295]
- Les groupes d'action municipale dans le système politique local : Grenoble, Valence, Chambéry - Patrick Lecomte, Jean-Pierre Bernard, Jean-Marc Blancherie p. 296-318 Les groupes d'action municipale dans le système politique local : Grenoble, Valence, Chambéry, par Jean-Pierre Bernard, Jean-Marc Blancherie, Patrick Lecomte Lors des élections municipales de mars 1965, une liste conduite par M. Hubert Dubedout, regroupant des organisations politiques de la gauche non communiste et des cadres, techniciens, animateurs... venus d'horizons divers, rassemblés au sein d'un Groupe d'action municipale, emporte la mairie de Grenoble. Ce succès inattendu et limité entraîne la création de nombreux groupes à l'image de celui de Grenoble. La rationalisation de l'expérience produit une idéologie intégrant certaines perspectives des partis de gauche mais s'inscrivant dans le cadre d'un renouvellement des pratiques politiques au niveau local. En mars 1971, les GAM affrontent les partis sur le terrain électoral. La comparaison des desseins et des méthodes des groupes de Valence et de Chambéry, en référence à l'expérience de gestion municipale poursuivie à Grenoble permet de tracer un bilan sommaire des convergences et des particularités de ces différentes tentatives. Ce bilan fait apparaître, en dépit de performances électorales variables selon la situation locale, d'une part une vision commune de la gestion et de l'animation de la cité, d'autre part une collaboration nécessaire et ambiguë avec les forces de gauche, le Parti communiste récusant l'expérience. L'originalité du projet des GAM ne se heurte-t-elle pas à la résistance des organisations politiques traditionnelles et, pour réussir, ne doivent-ils pas s'intégrer dans un système dont ils remettent en cause certaines des formes et des fonctions ? [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 296-318]The municipal action groups in the local political system: Grenoble, Valence, Chambéry, by Jean-Pierre Bernard, Jean-Marc Blancherie, Patrick Lecomte During the municipal elections of March 1965 a list led by M. Hubert Dubedout regrouping under the title "municipal action" the political organisations of the non-communist left together with cadres, technicians and animators... from different horizons succeeded in winning the Grenoble town council. This unexpected local success gave birth to numerous groups modeled on Grenoble. The rationalization of the experiment produced an ideology integrating some of the perspectives of the left-wing parties but within the framework of a renewal of political practices at local level. In March 1971 the Municipal Action Groups fought the parties in the election field. The comparison of the aims and methods of the groups in Valence and Chambery with reference to the experiment in municipal affairs carried out in Grenoble shows the differences and the similitude of the different attempts. Despite their different electoral performances resulting from the local situation these projects have in common their philosophy concerning the administration and animation of town-life and their belief in a necessary but ambiguous collaboration with left wing forces, as the Communist Party is against the experiment. The originality of the Municipal Action Groups no doubt comes up against the resistance of traditional political organisations and if they want to achieve their ends they are obliged to become part of a system whose substance and functions they contest. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 296-318]
- L'élection de M. Gaston Defferre à Marseille - Colette Ysmal p. 319-347 L'élection de Gaston Defferre à Marseille, par Colette Ysmal En mars 1971, les listes conduites par Gaston Defferre obtiennent un succès sans rapport avec les résultats atteints, lors des récents scrutins nationaux, par les partis réunis dans la coalition. Cette réussite est due à deux facteurs : le recul du Parti communiste et l'éclatement de l'électorat gaulliste. L'électorat communiste apparaît, depuis 1967, en constante régression et le P.C. ne semble pas en mesure de surmonter une crise qui atteint ses électeurs les plus fidèles dans ses bastions traditionnels. Joseph Comiti obtient un résultat bien meilleur qu'en 1965 mais son score reste loin du maximum atteint par le gaullisme en 1968. L'U.D.R. et ses alliés abandonnent au maire de Marseille une fraction de la clientèle venue à l'U.D.R. en 1968. Mais ils prêtent aussi à la coalition socialiste-centriste une importante partie des électeurs habituels du gaullisme. Ces transferts indiquent sans doute l'existence d'un comportement municipal spécifique tenant à la fois à la nature du scrutin et à la façon dont les élections municipales sont vécues par les citoyens marseillais. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 319-347] the splitting of the gaullist electorate The Communist electorate had constantly fallen away since 1967 and the Communist Party does not seem able to put an end to crisis which affects its most -faithful supporters in its most traditional strongholds Joseph Comiti obtained far more votes than in 1965 but was still far behind the maximum gaullist vote of 1968 The U.D.R and its allies lost to the Mayor of Marseilles some of those who voted U.D.R in 1968 They also lost to the socialist-centre coalition considerable number of steady gaullist voters These transfers prove no doubt the existence of specific attitude to municipal elections coming partly from the manner in which municipal elections are viewed by the electors of Marseilles .Revue fran aise de science politique XXII 2) avril 1972 pp 319-347The election of Gaston Defferre in Marseilles, by Colette Ysmal In March 1971 the lists led by Gaston Defferre were far more successful than the coalition parties had been in the former general election. They owed this success to two factors: the decline in support of the Communist Party and the splitting of the gaullist electorate. The Communist electorate had constantly fallen away since 1967 and the Communist Party does not seem able to put an end to a crisis which affects its most faithful supporters in its most traditional strongholds. Joseph Comiti obtained far more votes than in 1965 but was still far behind the maximum gaullist vote of 1968. The U.D.R. and its allies lost to the Mayor of Marseilles some of those who voted U.D.R. in 1968. They also lost to the socialist-centre coalition a considerable number of steady gaullist voters. These transfers prove no doubt the existence of a specific attitude to municipal elections - coming partly from the manner in which municipal elections are viewed by the electors of Marseilles. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 319-347]
Les conflits internationaux nés de la crise monétaire de 1971
- Le conflit entre l'Europe et les États-Unis - Guy Berger p. 348-358 Le conflit entre l'Europe et les Etats-Unis, par Guy Berger Malgré les apparences "techniciennes" de la crise monétaire internationale ouverte le 15 août 1971 par la décision américaine de suspendre la convertibilité du dollar et close par l'accord de Washington du 19 décembre, on est bien en présence dans son fond et dans les voies choisies pour la résoudre, d'une crise politique. Pour la première fois depuis 1945, les intérêts économiques des Etats-Unis et de l'Europe apparaissent nettement divergents. Sous couvert d'un compromis, l'Europe ne peut encore que se plier aux exigences américaines et les solutions apportées, précaires, laissent entiers les problèmes de l'étalon dollar et de la réforme monétaire internationale. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 348-358]The conflict between Europe and the United States, by Guy Berger Despite the "technical" aspects of the international money crisis created on August 15 1971 by the American decision to suspend the convertability of the dollar and terminated by the Washington agreement of December 19, the crisis, by the problems it raised and the manner in which it was solved was in fact a political one. For the first time since 1945 the economic interests of the United States and Europe appeared clearly divergent. Under cover of compromise Europe was once again obliged to give in to American demands and the solutions which have been found are precarious for they do nothing to solve the problems of the dollar and international monetary reform. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 348-358]
- La politique américaine de manipulation de la crise - Edward L. Morse p. 359-381 La politique américaine de manipulation de la crisepar Edward L. Morse Les objectifs manifestes en matière de politique étrangère que recherchait l'administration Nixon dans la crise monétaire de 1971 étaient de mettre fin à la spéculation contre le dollar et d'arriver à une dévaluation du dollar permettant un retournement spectaculaire de la position commerciale américaine. D'autre part, le gouvernement américain vit dans la crise une possibilité d'atteindre d'autres buts en matière économique et en matière de sécurité. A cette fin, il mit en oeuvre toute une batterie de mesures efficaces : menaces de nature économique à l'adresse d'alliés vulnérables, et manipulation de liens bilatéraux. Ce faisant, la diplomatie américaine fit preuve de certaines faiblesses qui sont parmi les plus graves qui puissent affecter la diplomatie contemporaine : dangers que représente la manipulation des relations extérieures à des fins internes ; difficulté de coordonner les politiques extérieures en matière économique et en matière de sécurité ; vulnérabilité mutuelle d'économies interdépendantes ; écart croissant entre la théorie et la pratique. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 359-381]The American policy of crisis manipulation, by Edward L. Morse The ostensible foreign policy goals of the Nixon administration in the monetary crisis of 1971 were to terminate speculation against the dollar and to achieve a devaluation of the dollar permitting a spectacular change in the U.S. trade position. The government also saw in the crisis the possibility of achieving other economic and security objectives. To these ends, it marshalled a powerful set of policy means: economic threats to its vulnerable allies and the manipulation of bilateral ties. In the process, American diplomacy exhibited some of the most serious weaknesses of contemporary statecraft: the dangerous manipulation of external relations for domestic ends; the difficulty of coordinating foreign economic and security policies; the mutual vulnerability of interdependent societies; and the widening gap between theory and practice. [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 359-381]
- La désunion monétaire européenne - Michel Albert p. 382-390 La désunion monétaire européenne, par Michel Albert Depuis le début du Marché commun, jamais la désunion monétaire de fait n'a autant contredit les projets d'union. Le dernier en date, adopté le février 1971 au Conseil des ministres, quoiqu'assouplissant notablement les rigueurs du rapport Werner dont s'il inspirait, en retenait cependant l'échéance - 10 ans - et ce qui est tout à la fois le moyen et l'objectif d'une union monétaire: la réduction des marges de fluctuation des monnaies. Or l'Allemagne et les Pays-Bas, en décidant, en mai 1971, de laisser flotter leur monnaie réduisent à néant le projet et les décisions américaines d'août ne font qu'accentuer la division en deux groupes des pays-membres. Mentalités et contextes politiques intérieurs expliquent en partie cet échec. Le prix à payer, pour être très lourd, incitera-t-il les politiques à voir au-delà de leurs illusoires singularités d'intérêts ? [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 382-390]European monetary disunity, by Michel Albert Monetary disunity has never counteracted unification projects so strongly, since the advent of the Common Market. The most recent project, adopted on February 9 1971 during the Conseil des Ministres although it greatly softened the rigour of the Werner report which had inspired it, nonetheless respected the delay - 10 years - and, and this is at once the means and the aim of a monetary union, the reduction in the margin of fluctuation of currencies. However Germany and the Netherlands decided in May 1971 to let their currency float thus destroying the project and the American decisions of August served only to accentuate the division into two groups of the member-countries. Internal mentalities and political context partly explain this failure. Will the price to be paid for this lack of unity, however heavy, incite politicians to look beyond their illusory national interests? [Revue française de science politique XXII (2), avril 1972, pp. 382-390]
- Le conflit entre l'Europe et les États-Unis - Guy Berger p. 348-358
Notes Bibliographiques
- Goguel (François) - Modernisation économique et comportement politique et « Analyse des résultats » in : L'élection présidentielle de décembre 1965. - A. Lancelot p. 391-394
- Hamon (Léo) - Acteurs et données de l'histoire. - A. Grosser p. 394-395
- Lindgberg (Leon N.) et Scheingold (Stuart A.) - Regional integration. Theory and research. - Marie-Elisabeth De Bussy, Françoise De La Serre p. 396-397
- Adam (Gérard), Bon (Frédéric), Capdevielle (Jacques), Mouriaux (René) - L'ouvrier français en 1970. - G. Grunberg p. 397-399
- Seronde (Anne-Marie), Dalmasso (Etienne), Jacquart (Jean), Nouat (René) - Tradition et changement en Toscane. Préface par Jean Meyriat. - C. Alix p. 399-402
- Informations Bibliographiques - p. 403-460
Cours et travaux inédits de science politique
- Liminaire - p. 461
I. Cours polycopiés
- I. Généralités, méthodologie - p. 461-462
- II. Pensée politique - p. 462
- III. Institutions politiques - p. 462
- IV. Relations internationales - p. 462-463
- V. Études nationales et régionales - p. 463
II. Travaux universitaires
- I. Méthodologie - p. 464
- II. Pensée politique - p. 465-468
- III. Biographies - p. 468
- IV. Institutions françaises - p. 468-469
- V. Études administratives - p. 470-471
- VI. Opinion et information - p. 471-472
- VII. Forces politiques en France - p. 472-475
- VIII. Forces politiques à l'étranger - p. 475-476
- IX. Études électorales françaises et étrangères - p. 476-477
- X. Études locales - p. 477-478
- XI. Relations internationales - p. 478-482
- XII. Attitudes et opinions nationales devant les problèmes étrangers - p. 483-484
- XIII. Pays africains - p. 484-486
- XIV. Pays étrangers (autres que les pays africains) - p. 486-489
- Index - p. 490-497
- Résumés des articles - p. 498-503