Titre | Pour une sociologie de l'éthique | |
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Auteur | François-André Isambert, Paul Ladrière, Jean-Paul Terrenoire | |
Revue | Revue Française de Sociologie | |
Numéro | 1978, 19-3 | |
Page | 323-339 | |
Résumé |
François-André Isambert, Paul Ladriere et Jean-Paul Terrenoire : Pour une Sociologie de l'éthique.
Dans le prolongement de Durkheim, Georges Gurvitch avait maintenu la sociologie de la vie morale comme un des secteurs les plus importants de la sociologie. Depuis, ce secteur est tombé, en tant que tel, en déshérence, s'éparpillant à travers l'ensemble de la recherche sociologique. La tâche propre d'une sociologie de l'éthique n'est pas de reconstituer un secteur de la vie sociale, difficilement separable des autres, mais de fixer un centre de perspective à partir duquel est posée la question de la valeur de l'acte social en tant qu'acte et du développement du discours éthique sur le terrain même des diverses activités sociales. Source : Éditeur (via Persée) |
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Résumé anglais |
François-André Isambert, Paul Ladriere, and Jean-Paul Terrenoire : For a sociology of ethics.
Following in Durkheim's path, Georges Gurvitch held the sociology of morals to be one of the most important sectors of sociology. That sector, as such, has since been abandoned and been spread throughout sociological research as a whole. The chief task of sociology of ethics is not to reconstitute an aspect of the life of society which can only be separated with difficulty from the rest. It is to establish a central viewpoint from which the values of social actions may be questioned as actions, and from which one may investigate the development of ethical discourse in the realms of the different social activities themselves. Source : Éditeur (via Persée) |
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Article en ligne | http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsoc_0035-2969_1978_num_19_3_6911 |