| Titre | De l'élection présidentielle iranienne de juin 2009 | |
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| Auteur | Parizi Maziar | |
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Revue | Revue Française de Science Politique |
| Numéro | Vol. 60, no 5, 2010 Regards croisés sur les élections | |
| Rubrique / Thématique | Regards croisés sur les élections |
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| Page | 927-949 | |
| Annexes | Cartes, Graphiques, Tableaux | |
| Mots-clés (matière) | candidat élections présidentielles résultats électoraux vie politique | |
| Mots-clés (géographie) | Iran | |
| Résumé |
La loi électorale iranienne comporte des règles structurelles rendant l'élection présidentielle perméable à toutes les interventions arbitraires et frauduleuses. Le filtre imposé pour la sélection des candidats éligibles, l'absence de listes d'émargement et l'existence d'une part importante de bureaux de vote mobiles ne sont qu'une partie du processus électoral pratiqué dans toutes les neuf élections précédentes et aussi dans celles de juin 2009. En bref, le candidat déclaré gagnant a bénéficié à la fois d'une partie des votes issus des bureaux mobiles et une grande part des votes des candidats Karoubi et Rezai. En additionnant les chiffres que nos analyses mettent en cause, dans le meilleur des cas, cette élection aurait dû aboutir à un deuxième tour entre Ahmadinejad et Moussavi. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Résumé anglais |
The miracle of the June 2009 Iranian presidential election.
Structural rules under Iranian electoral law admit of arbitrary and fraudulent practices of all sorts. The mandatory screening of eligible candidates, the absence of signing sheets and the existence of a significant proportion of mobile polling stations figured were part of the electoral process practiced in all nine previous elections – as well as in that of June 2009. In the latter, the candidate who was declared the winner received both a portion of the votes from mobile polling stations and a large share of the votes cast for the candidates Karoubi and Rezai. Adding up the figures called into question by our analysis, it looks as though this election would, in a best-case scenario, have led to a run-off between Ahmadinejad and Mousavi. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=RFSP_605_0927 |
