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Résumé |
L'avenir des syndicats en France est davantage conditionné par des facteurs logistiques que par des choix doctrinaux et stratégiques. L'institutionnalisation des syndicats accentuée par la loi Auroux aboutit pour l'A. à l'émergence de trois diagnostics: l'émergence d'une technocratie de militants de base, la subvention en remplacement de l'adhésion, l'avènement de l'ère des supporters. L'analogie entre syndicats et partis amène à s'interroger sur la vulnérabilité et la faiblesse des syndicats. |