Titre | D'une Cité à l'autre : bien commun et réforme de l'Etat à la fin du Moyen Age (France/Empire) | |
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Auteur | Gisela Naegle | |
Revue | Revue française d'histoire des idées politiques | |
Numéro | no 32, 2e semestre 2010 Pouvoir d'un seul et bien commun (VIe-XVIe siècles) | |
Page | 325 | |
Résumé |
En France comme en Allemagne, à la fin du Moyen Âge, la liaison étroite de la réforme du monde et de l'Église avec celle de l'État se reflète également dans la terminologie du bien commun. Employé par le prince, il sert à stabiliser le pouvoir monarchique, mais simultanément il peut se transformer en arme aux mains de ses adversaires et servir à la contestation de l'ordre établi. Le discours sur la réformation de l'État évolue en fonction de la conjoncture politique. Cependant, aussi bien en France qu'en Allemagne, le bien commun correspond souvent au désir ou plutôt au rêve d'une paix durable. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
In France and Germany, at the end of the Middle Ages is characterized by a great number of theoretical reflections on the reformation of Church and State. The close links between secular and religious reform debates are clearly recognizable in the terminology of the Common Good. Used by the prince for stabilization of monarchical power, it can also transform itself into a weapon in the hands of his adversaries and help to challenge the established order. Secular reformation discourse is subject to political conjuncture. But finally, in France as well as in Germany, the Common Good represents often the desire (or rather the dream) of a lasting peace. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=RFHIP_032_0325 |