Titre | Territorialité et bureaux virtuels : un oxymore ? | |
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Auteur | Emmanuelle Léon | |
Revue | Gérer et comprendre (Annales des mines) | |
Numéro | N° 99, mars 2010 | |
Rubrique / Thématique | L'épreuve des faits |
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Page | 32 | |
Résumé |
Les changements dans l'organisation du travail et la volonté de réduire les budgets dédiés à l'immobilier conduisent de nombreuses entreprises à réinventer, voire à supprimer, leurs bureaux, à l'aide des technologies mises à leur disposition. Le développement des espaces de travail partagés s'inscrit dans cette logique. Cependant, l'espace de travail n'est pas uniquement un lieu fonctionnel : il est également l'un des symboles qui relie le salarié à son organisation ; aussi celui-ci aura-t-il spontanément tendance à vouloir le faire sien. Une étude de cas, menée au sein des bureaux virtuels d'Accenture, démontre que la territorialité s'inscrit dans tout espace... fût-il virtuel. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
Territoriality and virtual offices, an oxymoron? Changes in the organization of work and the determination to reduce the budget allotted to office space have led many firms to reinvent, or even eliminate, offices thanks to modern technology. Evidence of this is the development of “shared workplaces”. The workplace is not just a functional space however. It is also one of the symbols linking wage-earners to their company. Wage-earners spontaneously try to make the workplace their own. A case study conducted in the virtual offices of Accenture shows how a sense of territory arises and marks every space, even virtual spaces. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=GECO_099_0032 |