Titre | La politique de sécurité démocratique d'Uribe Vélez : éléments pour une analyse critique | |
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Auteur | Adolfo León Atehortúa Cruz, Diana Marcela Rojas Rivera | |
Revue | Problèmes d'Amérique Latine | |
Numéro | No 83, hiver 2011-2012 La Colombie | |
Rubrique / Thématique | Dossier La Colombie |
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Page | 81 | |
Mots-clés (géographie) | Colombie | |
Mots-clés (matière) | Etat gouvernement guérilla politique intérieure sécurité violence | |
Mots-clés (organismes) | FARC | |
Résumé |
Cet article dresse un bilan de ladite politique de Sécurité démocratique impulsée par le gouvernement du président Alvaro Uribe Vélez pendant ses deux mandats présidentiels (2002-2010). Si l'on reconnaît bien qu'il y a eu des avancées significatives dans des aspects comme la réduction des homicides, les séquestrations, les massacres, les assauts contre les populations et les conditions de sécurité en général, on peut aussi mettre en avant le fait que dans d'autres domaines le bilan n'est pas nécessairement positif. C'est le cas du viol des droits de l'homme de la part des agents de l'État, la situation dans les villes, le démontage relatif des groupes paramilitaires et le déplacement de la population qui continue d'augmenter, entre autres choses. Les guérillas des FARC, malgré les coups très durs portés par le gouvernement, qui les ont obligées à se replier aux fins fonds du pays, elles restent actives et ont changé leurs formes d'action. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Résumé anglais |
This article is reporting the aforementioned democratic safety policy encouraged by President Alvaro Uribe Vélez's government during its two terms (2002-2010). Even if we have to admit that there were significant advances in several aspects as the reduction of manslaughters, illegal detentions, massacres, assaults against the population and the safety policy in general, we can also point out the fact that in some other fields, the result is not necessarily positive. That is the case of human rights violation committed by some officials, the situation in the cities, the limited dismantling of the paramilitary groups and the moving of population that keeps on increasing, among other things. The FARC guerrilla warfares remain active, despite the very hard blows striken by the government, which led them to withdraw at the very end of the country. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=PAL_083_0081 (accès réservé) |