| Titre | L'histoire longue de l'ivresse | |
|---|---|---|
| Auteur | Véronique Grappe | |
|
Revue | Sociétés |
| Numéro | no 93, 2006/3 Miscellanées | |
| Rubrique / Thématique | Contributions |
|
| Page | 77-82 | |
| Résumé |
Avec le « manger », le « boire » participe de la fête, facilite la convivialité, le dépassement des limites et le renversement des valeurs propres aux moments festifs. Mais, plus profondément, on peut parler d'une fonction sociale du « trop boire ». Celui-ci est en effet un moyen socialement reconnu et autorisé de franchir les frontières de l'espace festif. Les effets physiologiques de l'ivresse, y compris le sommeil et l'oubli, apparaissent alors comme nécessaires à l'accomplissement de cette fonction sociale. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
|
| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=SOC_093_0077 |


