| Titre | De la politique néotribale | |
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| Auteur | Marta Bucholc | |
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Revue | Sociétés |
| Numéro | no 112, 2011/2 La postmodernité et ses multiples facettes - Perspectives et méthodes | |
| Rubrique / Thématique | Transpolitique et postmodernité : la question du lien social |
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| Page | 17-26 | |
| Résumé |
Le problème du politique comme le sujet d'intérêt des sciences sociales n'est qu'un réflexe d'état des rapports sociaux, en cadre desquels se décide la question de domination et d'obéissance. Cet article présente l'une des visions de la société contemporaine, celle de retour de tribalisme, en réfléchissant sur les perspectives de la politique en tant que telle et comme un sujet des études scientifiques au seins de la société des neo-tribus. Le rôle de la politique dans le monde neotribale comme proposé par Michel Maffesoli est ici reconstruit et opposé aux idées de Max Weber représentant la théorie politique moderne. En indiquant les points où ces deux penseurs ne peuvent s'accorder, l'auteur constate que dans notre époque, la politique dont la domination et légitimité constituent les catégories centrales, perd son importance en fonction de la tribalisation des sociétés. La nouvelle politique de Puissance remplace la politique de Pouvoir en détruisant les fondements de la sphère politique institutionnalisée, ce qui, par conséquent, rend inutiles les instruments existants de la recherche sociologique. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Résumé anglais |
The problem of politics as subject of interest of social science is nothing but a reflection of the state of social relations framing the process of deciding upon the issue of domination and obedience. This article presents one of the visions of contemporary society, namely that of return of tribalism, and reflects on the perspectives of politics as such and as the subject of scientific studies conducted within the society of neo-tribes. The role of politics in neo-tribal world as proposed by Michel Maffesoli is reconstructed and contrasted with Max Weber's ideas representing modern political theory. By indicating the points upon which these two thinkers could not be reconciled, the author concludes that in our times the politics whose central categories were domination and legitimacy is losing its importance as a result of tribalisation of the society. New politics of Power (Puissance) takes`np pagenum="018"/b the place of politics of Authority (Pouvoir), destroying the foundations of institutionalized political sphere, thereby making useless the instruments of social research now in place. Source : Éditeur (via Cairn.info) |
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| Article en ligne | http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=SOC_112_0017 |
