Titre | « Y a pas de mots pour le dire, il faut sentir. » | |
---|---|---|
Auteur | Christel Sola | |
Revue | Terrain | |
Numéro | no 49, août 2007 Toucher | |
Rubrique / Thématique | Toucher |
|
Page | 37-50 | |
Résumé |
Le toucher est un sens complexe dont les modalités peuvent être subies ou recherchées. On distingue, en effet, deux types de perceptions tactiles : une perception cutanée ou passive, et une perception haptique ou active. À des degrés divers, de nombreux professionnels font preuve d'une compétence, voire d'une expertise haptiques. Dans la première partie du texte, l'auteure évoque la difficulté pour l'anthropologue de rendre compte de ces happerceptions. Puis elle livre les résultats d'une enquête récente en évoquant l'étendue des compétences tactilo-kinesthésiques des stylistes-modélistes-couturiers et des menuisiers-ébénistes, avant d'exposer la façon dont ces travailleurs manuels verbalisent ce qu'ils ressentent. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
|
Résumé anglais |
“There are no words with which to say it, it must be felt.” Describing and naming professional happerceptionsTouch is a complex sense which can be either experienced passively or actively sought. One distinguishes, in effect, two types of tactile perception: passive or skin perception and active or haptic perception. To various degrees, numerous professionals display haptic competence or even expertise. In the first part of the text, the author evokes the difficulties the anthropologist has in taking account of these happerceptions. She also presents the results of a recent study which reveals the extent of tactile-kinaesthetic competences of designers – dress makers – couturiers and of carpenter-cabinet makers, before setting out how these manual workers verbalise what they feel. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
|
Article en ligne | http://terrain.revues.org/5841 |