| Titre | La difficile entreprise de réformer les médias en Tunisie | |
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| Auteur | Larbi Chouikha | |
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Revue | Communication |
| Numéro | Vol. 33, no 1, 06 mars 2014 | |
| Rubrique / Thématique | Document |
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| Résumé |
Créée deux mois après départ de l'ex-président tunisien Ben Ali, l'Instance Nationale pour la Réforme de l'Information et de la Communication (INRIC) devait combler le vide juridique et institutionnel engendré par l'abrogation de la législation liberticide de la presse et la suppression du ministère de la communication qui régentait les médias tunisiens. L'auteur retrace les événements qui ont amené l'INRIC à se saborder après une année et demie d'exercice. Il attribue ce sabordage à l'absence de toute volonté politique gouvernementale en raison de la singularité de la transition tunisienne. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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| Résumé anglais |
Two months after the departure of former Tunisian President Ben Ali in January 2011, the Instance Nationale pour la Réforme de l'Information et de la Communication (INRIC) was set up to close the legislative and institutional gap created by the repeal of the repressive press laws and the abolition of the Ministry of Communication that regulated media activities in Tunisia. The author retraces the events leading up to INRIC's decision to dissolve itself 18 months later. He attributes this decision to the singularity of the current transitional period in Tunisia's history, which robs the government of any and all political will to act. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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| Article en ligne | http://communication.revues.org/4692 |
