Contenu de l'article

Titre La mort d'un couple : prière(s) et vie publiques
Auteur Mathieu Touzeil-Divina
Mir@bel Revue Droit et cultures
Numéro no 51, juin 2006 Prière(s) et Droit
Rubrique / Thématique
Prière(s) et Droit
Page 13-38
Résumé Si, avant la Loi du 5 décembre 1905, les Eglises et l'Etat concrétisaient matériellement leurs liens étroits par des rites officiels nommés prières publiques, ceux-ci sont censés avoir été supprimés depuis. C'est l'histoire de cette suppression (après en avoir retenu une définition) qui est ici envisagée à travers trois secteurs cardinaux de l'action administrative : la vie universitaire, parlementaire et judiciaire. Dans ces trois hypothèses les prières publiques ont été supprimées de façon différente (respectivement) : par désuétude, par une Loi constitutionnelle et par circulaire. On constatera, enfin, l'actualité (troublante) de certains de ces rites non exclus totalement de notre vie publique … laïque.
Source : Éditeur (via OpenEdition Journals)
Résumé anglais If, before the law from December 5, 1905 law, Churches and the State would concretely manifest their close links through official rites called public prayers, these rites are supposed to have since been abolished. This article deals with the history of this abolition – which it first defines – through the study of the three central sectors of the public sector's activity: university, parliament and judiciary life. In these three hypotheses, prayers have been abolished in various ways (respectively): by obsolescence, by constitutional statute-law and by decree. It will eventually focus on the (disquieting) actuality of some of these rites not entirely excluded from our « secular » public life.
Source : Éditeur (via OpenEdition Journals)
Article en ligne http://droitcultures.revues.org/791