Titre | Des « estoires vraies ». Réflexions sur l'institution royale au miroir de quelques Romans de la seconde moitié du XIIe siècle | |
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Auteur | Françoise Pont-Bournez | |
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Revue | Droit et cultures |
Numéro | no 66, décembre 2013 Espaces des politiques mémorielles. Enjeux de mémoire | |
Rubrique / Thématique | Études |
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Page | 203-227 | |
Résumé |
En cette brillante Renaissance du XIIe siècle, des « clercs Lettrés » se sont emparé des trois matières de « France, de Bretagne, de Rome la Grande ». Forts de la certitude que « personne ne doit dissimuler son Savoir », ils entendent les transmettre à un large auditoire et s'expriment pour cela en « roman ». Ce faisant, ces « écrivains romanciers » savent aussi retenir l'attention des dames et des chevaliers lorsqu'ils proposent à leur réflexion un certain « modèle royal » en ses différentes composantes. Et ce public curial ne s'y trompe pas qui reconnaît et accueille le schéma institutionnel ici proposé du gouvernement capétien. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Résumé anglais |
During that brilliant period of the Renaissance, «erudite clerks» took possession of the tree sources from «France, Bretagne and Rome the Great». Fortified by the certainty that «no one should conceal his Knowledge» they intend to make it available to a wide audience, and thus, they use «Romance language». Doing that, those «Roman-writers» are able to attract the attention of Dames and Knights, when they offer them different aspects of a particular «Royal Model»; And that court audience does not fail recognize and accept the institutional structure of the Capetian Government, proposed in that way. Source : Éditeur (via OpenEdition Journals) |
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Article en ligne | http://droitcultures.revues.org/3241 |